Il conviendrait désormais de faire un autre pas en avant pour permettre à tous les médecins de prescrire, à large échelle. Il ne sert à rien d’entrebaîller la porte et de perdre encore un temps précieux . Dès l’instant où, il est de notoriété publique que le traitement présente un grand intérêt, il convient de largement diffuser l’information, en incitant les généralistes à soigner leurs patients avec le baclofène . Pour l’instant , l’Afssaps propose une demi- mesure, qui lui permet de sauver la face mais, à peine . Il faut aller de l’avant , et construire , malgré les erreurs du passé. Cela nécessite plus d’audace et de sens des responsabilités . Le temps presse,.