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@Idyllique Je ne saurais mieux dire. Entièrement d’accord. Par rapport à l’assistanat je crains hélas qu’un retour en arrière ne déclenche une crise incontrôlable. Si on enlève l’aide sociale c’est le chaos. Tout s’effondre. Mais pourquoi pas après tout.

Martin Lucas, comment-vous dire... vous me donnez la nausée. Vous ne méritez pas plus de considération que ceux qui tirent sur la Police au fusil de chasse.

« il nie l’évidence des communautés d’origine, des communautés religieuses » dîtes-vous en parlant du « discours national ». Cela vous dérange ça ? Moi je trouve que c’est précisement l’idéal vers lequel l’humanité doit tendre. Précisement je dis, car il s’agit bien de « nier » ce qui est effectivement une évidence à nos yeux (couleur de peau, morphotype). Chacun doit faire un effort de raison pour dépasser ces apparences. il ne doit pas exister de « communauté d’origine ». c’est totalement stupide. Comme le fait de « prendre en compte des spécificités d’évidence ». Vous avez une vision raciste des choses tout en voulant apporter des solutions au malaise des cités.

@ l’auteur « il nie l’évidence des communautés d’origine, des communautés religieuses » dîtes-vous en parlant du « discours national ».

Cela vous dérange ça ? Moi je trouve que c’est précisement l’idéal vers lequel l’humanité doit tendre. Précisement je dis, car il s’agit bien de « nier » ce qui est effectivement une évidence à nos yeux (couleur de peau, morphotype). Chacun doit faire un effort de raison pour dépasser ces apparences. il ne doit pas exister de « communauté d’origine ». c’est totalement stupide. Comme le fait de « prendre en compte des spécificités d’évidence ». Vous avez une vision raciste des choses tout en voulant apporter des solutions au malaise des cités.

Sur le fond je pense que l’auteur n’est pas loin de la vérité même si bien sur il est difficile d’anticiper ce que sera l’Europe dans un siècle. Je regrette le côté bourrage de crâne de son article, qui répète 40 fois la même chose. Ca le décrédibilise. Comme le fait de devoir toujours se défendre d’être raciste. C’est suspect. Pas la peine. Il n’y a rien d’honteux à vouloir défendre sa civilisation, qui est, je suis d’accord, réellement en danger. Pas besoin de se justifier. Il n’y a rien de criminel. Malheureusement les drames de la seconde guerre mondiale hantent encore nos consciences et nous paralysent.

Les réactions nombreuses des fondamentalistes des droits de l’homme ne m’ont pas étonnées. Je ne les lis même plus.

Je leur dirais ceci. Est-ce vraiment rendre service à l’Afrique que de permettre cette immigration ? A long terme non. Avec notre laxisme, on entretient pour les africains d’Afrique le rêve d’une vie meilleur en Europe, pour eux et surtout pour leur enfants. En conséquence, ils n’envisagent qu’une chose : partir. Si, par une politique dure, on mettait un coup d’arrêt définitif à cette immigration, afin que la clandestinité cesse, que se passerait-il ? Que resterait-il à ces gens désespérés ? Le changement. A eux de faire leur révolution. L’avenir de l’Afrique appartient aux africains. L’Europe et les autres continents ne sont là que pour la piller et la polluer, en dépit des bonnes intentions ici ou là.

L’idée principale de l’article consiste à dire que la civilisation européenne disparaitra avec l’européen. Et je dis oui. Pas parce-que cette civilisation est inscrite dans les gènes de l’homme blanc. Mais parce-qu’en règle générale les immigrés en provenance d’Afrique ne s’assimilent pas ou peu à la culture hôte. C’est un fait. Même nés ici, ils restent reliés à l’Afrique, ont une identité autre que l’identité française. Ils ont reçu une cuture de leur parents et la transmettront à leurs enfants, faisant exister une communauté qui dépasse la communauté nationale. Ils sont là pour des raisons économiques. Rien d’autre. Au mieux, l’assimilation est professionnelle. Ce qui ne signifie rien.

Cela dit je ne pense pas que cette population d’origine africaine vivant en Europe souhaite vraiment arriver à la situation décrite dans l’article. Ils savent ce qu’ils doivent à la civilisation européenne et n’ont peut-être pas envie de retrouver ce qu’eux ou leur parents ont fuit.