TROP TARD ;
Vous regardez, hagards, votre propre déclin.
Dégénérés, perdus, vous voyez votre fin.
Avec nostalgie, vous l’avez abattu
Ce passé si glorieux, qui soudainement s’est tu.
Avec hypocrisie vous soignez ses blessures
Car elles vous aident encore à pratiquer l’usure.
Vos principes fondateurs, vous les traînez en laisse.
Votre démocratie, c’est elle, votre faiblesse,
Elle vous empêche d’agir.
Elle vous oblige à fuir.
Sous vos yeux horrifiés, votre démembrement
Vous laisse sans voix, et effraye vos enfants,
Et vous êtes devenus le butin pourrissant
D’un islam conquérant.