Moi qui termine ma vie à la campagne, je ne vois pas très bien en quoi le sort de ceux qui vivent dans ce ghetto bétonné, fliqué, pollué, sale, puant et bruyant peut être enviable.
Je me sens un peu comme le manan, au milieu de ses poules, lapins, canards, carotte, persil, pommiers fleuris...
Lorsque que le gros con de châtelain, se les gèle dans son château, avec pour paysage ma chaumière délabrée, moi, au coin de l’âtre, en grignotant des châtaignes, je contemple, j’admire par la fenêtre, son magnifique château glacial…
Moi, le soir, je soupe, avec les meilleurs légumes, et, personne, ne crache dans ma soupe...
Bon... je déconne.
Y a pas de château en face de chez moi, juste des arbres, des vrais.
Mais ce qui est sûr, c’est que je garde le meilleur pour moi, et que, personne, jamais, ne crache dans ma soupe.
« Il n’existe plus qu’un seul pays qui applique réellement le communisme : la Corée »
Visiblement, vous ne connaissez pas le socialisme réel, aussi, je vous le résume d’une façon simpliste, cela vous sera plus facile à assimiler.
Le communisme, c’est la doctrine chrétienne avec, pour seule différence, la finalité de la vie. Les uns sont frères, les autres sont camarades.
Après, d’un côté comme de l’autre, tout dépend de ce que fait d’une philosophie. Un idéal peut aussi servir tous les prétextes, c’est juste une affaire de propagande.
Les résultats humains de ce que l’on a fait du socialisme ou du christianisme sont très proches l’un de l’autre en termes de nuisances. Une croisade reste une croisade, que ce soit avec une faucille, une croix ou un croissant.
Pour terminer sur une vérité première, on dit aussi que le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme et le socialisme, exactement l’inverse.
Le chiffre issu du Livre noir du communisme atteint même 100 millions de morts. Nous pouvons donc déclarer sans sourciller que le communisme est une menace directe pour la survie de l’espèce humaine.
3eme publication :
Pour faire bonne mesure et rester objectif, si c’est
envisageable chez vous, parlez-nous donc, aussi, du capitalisme en
général et en particulier du capitalisme américain :
Grosso modo 300 guerres en moins de 300 ans d’existence... Combien
de victimes civiles sachant que la doctrine anglo-saxonne est basée sur
le tapis de bombes généralisé sur toute la population...
Quelques mots, aussi, seraient les bienvenus sur les famines organisées, l’agent
orange, les napalms, les bombes atomiques sur un Japon exsangue et
vaincu, les couvertures variolées aux indiens, les bombes à l’uranium,
les divers poisons, la torture organisée et légalisée... Un mot, un
seul, car je crois que vous allez être à court de vocabulaire, sur tous
ceux qui meurent de faim et de froid dans notre grand paradis
occidental...
"On opère donc une décorrélation entre le travail et son fruit.
«
Tandis qu’avec les délocalisations capitalistes à perpète on opère une corrélation directe entre le salarié et Pôle emploi. C’est con, mais avec votre fameux système, il faut prendre l’avion pour acheter du Doliprane. C’est pas pratique, reconnaissez-le.
»On confère donc au politique un pouvoir exorbitant, parfois pire que
l’ancienne féodalité. Tu travailles et c’est le soviet qui décide de ton
salaire.
«
En France, ne serait-ce pas le politique qui décide du smic ?
»Celui qui prend le pouvoir au sein des conseils et assemblées ouvrières
s’arroge un pouvoir de type féodal, voire esclavagiste ou arbitraire«
Ce qui, c’est évident, n’est pas le cas, avec le CAC40... ou le CNPF...
»Enfin, cette décorrélation du travail et de son résultat, entre le
travail et sa rémunération, conduit à la baisse de la production, à
l’atrophie, au désengagement.
"
Tandis que dans la France capitaliste, les usines poussent comme des champignons...