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Laurent Courtois

Laurent Courtois

Ex-contributeur de Novorossia Today à Donetsk et donc idiot utile de l'OTAN... J'essaie de vous proposer une vision alternative et objective à la propagande de l'Ouest et de l'Est.
N'ayant pas besoin de tremper ma plume dans le sang des victimes pour écrire mes textes, je milite pour l'application des accords de Minsk 2, le retour de la paix en Ukraine et l'éviction de la junte bandériste de Kiev.
Suivez-moi sur Twitter : @courtois_l

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  • Premier article le 09/01/2017
  • Modérateur depuis le 01/02/2017
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Derniers commentaires



  • Laurent Courtois Courtois Laurent 9 janvier 2017 19:16

    @JP94
    Les bandéristes se sont opposés au nazisme à la fin de la guerre, quand les carottes étaient cuites. Seule la Division Galicia, a été fidèle. L’UPA a mordu la main de son maître. 

    Et concernant Vichy, il y avait des personnages fortement germanophobes (par exemeple tout ceux issus de l’Action Française) fortement opposé au courant « Laval ». Mais, je suis d’accord avec vous, je ne dirai pas que Vichy était un système concourant du nazisme.

    Pour ceux qui est de l’avenir politique de l’Ukraine c’est un sujet sacrément épineux, vu la versatilité des ukrainiens. Il pourrait finir par voter Darth Vader, pas celui de Star Wars, le politicien. 



  • Laurent Courtois Courtois Laurent 9 janvier 2017 15:09

     @kitty-cat

    Contrairement à vous, je pense que le rejet de la Junte de Kiev pourait bien permettre la réconciliation entre l’Ukraine central et l’Ukraine de l’est, voir même avec l’ouest. Encore faudrait-il que cette dernière rejette massivement le nationalisme galicien qui la gangrène.

    Quel avenir pour le Donbass ? Question bien compliquée. La seule chose qui est certaine c’est que ses habitants supportent de moins en moins la guerre. J’ai bien peur qu’au fil du temps, les « donbassiens » finissent par haïr tous les dirigeants bellicistes de l’Ukraine quelque soit le côté de la ligne de front d’où ils se trouvent.
    Peut-être que le Donbass finira par se « Transnistrifier », mais alors là, on se dirigerait vers une solution « loose to loose ». Alors qu’une réintégration dans une Ukraine fédéralisée serait une solution « Win to Win ».

    En effet, le retour de la Crimée a déjà fortement affaibli l’électorat pro-russe (perte de 1,5 millions d’électeurs sur les 31,5 du pays, soit environs 5%). C’est la perte de ses électeurs qui a rendu possible l’élection de Poroshenko dès le premier tour.La perte du Donbass entrainerai une baisse de l’électorat pro-russe en Ukraine de plus de 10 points, ce qui impliquerait pour les prochaines élections un handicappe de plus de 15 % pour les pro-russes. Ce qui rendrait toute alternative politique en Ukraine plus difficile.

    Mais n’oublions pas que Iouchtenko n’avait recueilli que 5 % des voix au premier tour des élections en 2010. Donc même la perte d’un sixiéme des électeurs de l’opposition ne sauverait peut être pas Poroshenko.



  • Laurent Courtois Courtois Laurent 9 janvier 2017 14:36

    @Eric,

    Les « nationaux socialistes orthodoxes intégristes russes » que vous évoquez sont-ils les Naz-Bols (nationalistes-Bolcheviques) ? Si c’est le cas ce parti est interdit en Russie depuis 2007.

    Oui effectivement entre la Galicie et le Donbass, il y a bien la Région de Kiev, c’est à dire l’Ukraine historique qui est culturellement plus proche de la Russie que de l’Europe. La volonté de la couper de ses racines culturelles n’est peut pas étrangère à la guerre civile reignant actuellement dans le pays. 

    Concernant les procédés de vote dans les hospices, il me semble qu’en France, on ne ne fait pas mieux par exemple à Levallois-Perret, (http://www.francesoir.fr/politique-france/soupcons-de-fraudes-fiscales-et-electorales-le-couple-balkany-dans-la-tourmente). Ne serait-ce pas dans une maison de retraite que l’on a vu Alain Juppet donner un spectacle de danse ?
    http://www.huffingtonpost.fr/2016/01/09/ces-photos-dalain-juppe-qui-danse-dans-une-maison-de-retraite-v/

    Donc voilà, ce qui est courant en France et ne perturbe personne devient soudemment idnamissible en Russie....

    Il me semble que pour l’Ukraine vous confondez les chaines russophones russes et les chaines russes.

    Le problème réél de l’ukraine n’est pas tant la Russie que l’Europe mais plutôt l’incompétence et la médiocrité de ses élites qui poussent les ukrainiens à chercher le salut une fois du côté des russes puis une autre fois du côté de l’Europe allant de l’un à l’autre au fil des déconvenues nationales.



  • Laurent Courtois Courtois Laurent 9 janvier 2017 13:03

    @eric
    Bonjour Eric,

    La famille d’Arjakowski, a fui la Crimée lors de la Révolution bolchevique. Je me suis permis de mettre « russe » entre guillemets, car au vu des opinions de ce dernier, la Crimée doit être tout sauf russe (Ukrainienne, Tatar).
    Je ne fais pas de lui un « bandériste » par le seul point qu’il ait vécu à Lvov. A ce jour, je n’ai pas vu de modéré à l’« Ukraine Crisis Média Center », personne n’y est allé pour prêcher la réconciliation nationale.
    Le vrai problème de l’Ukraine est le manque de « ciment national » entre les deux cultures galicienne et russe. La Révolution Orange avait bien fait naître une cohésion, mais malheureusement la persistance de la corruption avait fait renaitre le clivage Est / Ouest.
    Mais comment envisager une paix civile dans un pays où on laisse s’épanouir des partis politiques ayant comme programme l’extermination d’une des ethnies nationales ?

    Mes constatations que vous appelez « Mes attaques » ne sont pas si vives que vous semblez le dire. Oui en effet, on peut me qualifier de pro-russe, mais à la différence d’Antoine Arjakowski, je ne m’abaisserai pas à colporter des mensonges pour soutenir les idées que je défends.

    Et pour la démonstration « ad Hitlérum », ce n’est pas un principe russe, mais plutôt une manie des français pro-Donbass.
    Les russes ne parlent jamais de nazisme, mais seulement de fascisme.
    Pour ma part j’ai toujours écrit que le nationalisme ukrainien avait développé une forme de fascisme propre et concurrente du nazisme (http://chroniquedelahaineordinaire.blogspot.fr/2015/09/le-fascisme-ukrainien-et-sa-survivance.html).

    Et concernant le bourrage des urnes en Russie, Vladimir Poutine n’a pas besoin de cela pour arriver à 51 %.
    Pour les élections de 2016, l’ONG Golos ouvertement anti-poutine a eut accès à toutes les vidéos de surveillance. Elle a signalé quelques bourrages d’urnes et toutes les personnes impliquées ont été sanctionnées par la Justice. Les coupables ont globalement déclaré l’avoir fait spontanément pour plaire à Vladimir Poutine !
    Pour avoir été scrutateur d’élection en France je peux certifier que j’ai été aussi le témoin de tellse dérives individuelles.



  • Laurent Courtois Courtois Laurent 9 janvier 2017 10:41

    @Olivier Perriet, Je n’irai pas dire que cet article m’a demandé trop de temps, mais certaine plus qu’ à Antoine Arjakovski pour écrire le sien.
     Il est en effet plus long de contredire des faits que de simplement les copier-coller.
    Prenez par exemple le soi-disant doppage russe. Vous trouverez sans mal, mille et un article accussant les russes mais aucun droit de suite à cette actualité.
     Il vous faudra comme moi lire tous les articles de la presse sportive pour essayer de trouver la réalité.

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