J’ai vu un film il n’y a pas longtemps, un film que je n’avait pas encore eu l’occasion de voir jusqu’à présent et qui classé « science fiction » .... Je ne connaissait pas grand chose de ce film, hormis le fait qu’un homme masqué réclame vengeance (non, ce n’est pas un des héros des Avengers).
Mais depuis, je le classe plutôt comme un film d’anticipation vu le contexte actuel qui s’en rapproche.
Le discours principal au début du film est marquant car l’émotion ressenti est, je le suppose, actuellement très présent en chacun de nous même si le contexte du film est quelque peu différent.
Ceux qui ont vu le film reconnaitrons ce discours :
<< J’apprécie, tout comme vous, le confort rassurant de la routine quotidienne, la sécurité enveloppante d’un environnement familier et la quiétude de la répétition.
Il n’y aucune différence entre vous et moi, mais concernant la commémoration des événements importants de notre histoire, associée le plus souvent à la mort de quelqu’un ou à un conflit meurtrier et barbare, et fêtée par quelques jours de congés, j’ai pensé que nous pourrions commémorer ce 5 novembre, une date qui malheureusement est tombée dans l’oubli, en prenant sur notre emploi du temps, en nous asseyant, et en en parlant, vous et moi.
Il existe bien sûr quelques personnes qui refusent que nous en parlions, je parierais que des ordres ont déjà été hurlés dans des téléphones et que des hommes armés seront bientôt en route pour venir m’arrêter. Et pourquoi ? Parce que si nos dirigeants communiquent avec nous par des volées des coups de matraque, ils savent que les mots sont des armes bien plus redoutables. Les mots nous donnent l’accès à la compréhension et, à ceux à qui ils sont adressés, à l’établissement de la vérité, et la vérité, comme vous le savez, n’est pas l’apanage de notre gouvernement actuel.
Cruauté et injustice, intolérance et oppression, alors que vous aviez le droit de vous exprimer avec une totale liberté de parole et de pensée, aujourd’hui le pouvoir vous surveille nuit et jour, contraignant votre conformisme et sollicitant votre soumission.
Comment en sommes-nous arrivés là ? A qui la faute ?
Il y en a bien certains qui sont plus responsables que d’autres, et ceux-là devront rendre des comptes, mais pour être honnête, si vous cherchez les coupables, regardez-vous dans un miroir.
Je connais vos raisons, je sais que vous aviez peur, c’est légitime.
La guerre, la terreur, la maladie. Devant une telle myriade de problèmes, la raison se fait rapidement altérer et nous perdons vite tout sens commun.
La peur a guidé vos actions et dans votre détresse vous vous êtes tournés vers le grand Chancelier Adam Sutler. Il vous a promis l’ordre, il vous a promis la paix, et il n’exigeait en retour que votre silence et votre consentement docile.
La nuit dernière j’ai cherché à rompre ce silence, la nuit dernière j’ai fait exploser l’’Old Bailey pour que ce pays se souvienne de ce qu’il a oublié.
Il y a plus de 400 ans, un citoyen remarquable a voulu graver à jamais la date du 5 novembre dans nos mémoires. Son intention était de rappeler au monde que l’équité, la justice et la liberté n’étaient pas que des mots, mais les pierres angulaires d’une société.
Donc si vous me souffrez de rien, si les crimes de ce gouvernement vous ont laissé indifférents jusqu’à ce jour, alors vous seriez en droit de refuser toute commémoration en date du 5 novembre.
Mais si par contre vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, et si vous désirez ce que je désire, alors je vous demande de vous joindre à moi dans un an, jour pour jour, devant les portes du Parlement et alors, tous ensemble, nous leur ferons vivre un 5 novembre que, ni le monde ni eux, ne pourront oublier. >>
J’ai un film il n’y a pas longtemps, il film que je n’avait pas encore eu l’occasion de voir jusqu’à présent et qui classé « science fiction » .... mais depuis je le vois plutôt comme un film d’anticipation vu le contexte actuel qui s’en rapproche.
Le discours principal de ce film est marquant car l’émotion ressenti est, je le suppose, actuellement très présent en chacun de nous même si le contexte du film est quelque peu différente. Changez 2 ou 3 mots ou date et vous avez les évènements actuels :
<< J’apprécie, tout comme vous, le confort rassurant de la
routine quotidienne, la sécurité enveloppante d’un environnement familier et la
quiétude de la répétition.
Il n’y aucune différence entre vous et moi, mais
concernant la commémoration des événements importants de notre histoire,
associée le plus souvent à la mort de quelqu’un ou à un conflit meurtrier
et barbare, et fêtée par quelques jours de congés, j’ai pensé que nous
pourrions commémorer ce 5 novembre, une date qui malheureusement est tombée
dans l’oubli, en prenant sur notre emploi du temps, en nous asseyant, et en en
parlant, vous et moi.
Il existe bien sûr quelques personnes qui refusent que
nous en parlions, je parierais que des ordres ont déjà été hurlés dans des
téléphones et que des hommes armés seront bientôt en route pour venir
m’arrêter. Et pourquoi ? Parce que si nos dirigeants communiquent avec
nous par des volées des coups de matraque, ils savent que les mots sont des
armes bien plus redoutables. Les mots nous donnent l’accès à la compréhension
et, à ceux à qui ils sont adressés, à l’établissement de la vérité, et la
vérité, comme vous le savez, n’est pas l’apanage de notre gouvernement actuel.
Cruauté et injustice, intolérance et oppression, alors
que vous aviez le droit de vous exprimer avec une totale liberté de parole et
de pensée, aujourd’hui le pouvoir vous surveille nuit et jour, contraignant
votre conformisme et sollicitant votre soumission.
Comment en sommes-nous arrivés là ? A qui la
faute ?
Il y en a bien certains qui sont plus responsables que
d’autres, et ceux-là devront rendre des comptes, mais pour être honnête, si
vous cherchez les coupables, regardez-vous dans un miroir.
Je connais vos raisons, je sais que vous aviez peur,
c’est légitime.
La guerre, la terreur, la maladie. Devant une telle
myriade de problèmes, la raison se fait rapidement altérer et nous perdons vite
tout sens commun.
La peur a guidé vos actions et dans votre détresse vous
vous êtes tournés vers le grand Chancelier Adam Sutler. Il vous a promis
l’ordre, il vous a promis la paix, et il n’exigeait en retour que votre silence
et votre consentement docile.
La nuit dernière j’ai cherché à rompre ce silence, la
nuit dernière j’ai fait exploser l’’Old Bailey
pour que ce pays se souvienne de ce qu’il a oublié.
Il y a plus de 400 ans, un citoyen remarquable a voulu
graver à jamais la date du 5 novembre dans nos mémoires. Son intention était de
rappeler au monde que l’équité, la justice et la liberté n’étaient pas que des
mots, mais les pierres angulaires d’une société.
Donc si vous me souffrez de rien, si les crimes de ce
gouvernement vous ont laissé indifférents jusqu’à ce jour, alors vous seriez en
droit de refuser toute commémoration en date du 5 novembre.
Mais si par contre vous voyez ce que je vois, si vous
ressentez ce que je ressens, et si vous désirez ce que je désire, alors je vous
demande de vous joindre à moi dans un an, jour pour jour, devant les portes du
Parlement et alors, tous ensemble, nous leur ferons vivre un 5 novembre que, ni
le monde ni eux, ne pourront oublier. >>
La courbe en croissance constante depuis au moins 10 ans je l’avais noté aussi.
Je me suis fais un récapitulatif de tout ce qui ne va pas durant cette crise dans ce PDF (en lien plus bas). La courbe de croissance se trouve en page 11 et 13.