Grave, les vaccinés bisounours polluent les milieux aquatiques, l’eau qu’il nous reste, en ajoutant au cocktail de polluants pré-existants, de nouvelles substances issues des laboratoires, car nous le savons bien que tous les médocs et vaccins se retrouvent maintenant dans tous les écosystèmes, nos stations d’épuration, elles ne disposent pas de technologies suffisantes.
Le
problème c’est que l’impact toxicologique environnementale des
« innovations » industrielles se vérifie soixante-dix
ans après, voire plus tard encore, c’est à dire quand le problème
devient irréversible. Il faudrait au contraire confiner ces
« innovations » aux seuls laboratoires afin d’en étudier
l’impact avant qu’il ne soit trop tard. Pour preuve :
@crottedebiqueetbonbonnoir Là, il y a des contradicteurs sans arguments qu’on « pris la poudre d’escampettes ». A part vous appeler « chéri » « chouchou » et balancer, profitant de son anonymat, « Ton guarana, Guano, faudra le vider aux Water quand la ptite navette partira dans l’atmosphère » ou bien « la planète, ils vont la bousiller, et je vais te dire : la fin des haricots c’est pour très bientôt ». Incroyable, ils doivent avoir chopés un ulcère à l’estomac. C’est jamais bon d’être trop prêt des faits, ça te retombe sur la tête, même si t’es pas responsable, car les vrais responsables sont cachés ou trop forts pour eux. L’homme moderne s’est fait parasité les méninges, lui et sa famille proche, le reste, il s’en tape. Dégouté par son rapport au monde, maladie ou peu de solidarité, vie en mégapoles, tous ces facteurs et d’autres encore peuvent rendre certains « mais pas du tout sympa », je ne leurs confierait des sites comme LUBRIZOL, on ne sait jamais. Quand je vois les sourires indigènes, on est forcé de constater que ces peuples ne se sont pas encore fait retourner le cerveau, il reste des rêves à réaliser dans leurs yeux. Le guarana dont je parle est celui obtenu grâce à la tribu des indiens SATERé MAWé, LONGUE VIE AUX SATERé MAWé.
@Shawford Ah, enfin, l’ambiance se précise, toutou, roquet soumis à sa maîtresse, la pub, ça grogne pour qu’on touche pas à son nonos. J’écris quand je veux. t’es minoritaire sur ce sujet, & du coup, 1 mauvais perdant. Ma démonstration n’en est que plus persuasive. KC.
@CyrArno de Barges raquent Ah d’accord, on nage dans le nihilisme et la dérision, signe compréhensible d’abandon. Dsl, mais les familiarités poussent à la confusion des intentions de tes réparties. Finalement, CyrArno se révèle misanthrope, (un peu quand même).
Nous sommes tous, la « pupuce chéri » ’y compris, d’insignifiants pantins téléguidés par une pseudo-culture pleine de barbelés. Plus ou moins spirituels, chanceux, ou attachants. Notre bonheur ou ressentiment face au monde, notre réaction devant la presse mondialisée et l’histoire, sont déterminant pour que nous restions altruistes. D’apprendre les méfaits de nos congénères, émousse notre foi dans l’avenir, la confiance dans l’espèce. Préoccupé par ce Bolsonaro, je compte bien promouvoir cette plante, (ça se prend en poudre avec miel & jus de fruit ou yaourt) , car elle offre une qualité de vie, une vitalité, une super-dynamique. Elle te remet les idées en place, favorisant une analyse plus pointue, et une immense passion de la vie. Comme cette plante pousse aux pied des arbres, se nourrissant de l’humus de la forêt, exploitée durablement par les indiens, qu’elle offre 30 ans de plus d’espérance de vie, et qu’elle contribue donc à la valorisation de l’Amazonie, il est capital de mettre à jour cette alternative pacifiste qui s’offre au consommateur imprudent, soucieux de l’avenir d’un monde plus harmonieux, ainsi que de sa santé. Voici plusieurs décades que j’en consomme, je fait 20 ans de moins, même mes proches le remarque. Quand TOUS, nous voterons pour ce sacré guarana avec notre porte-feuille, nos directions politiques suivront.
PS : liste non exhaustive des poisons sociétaux qui nous tirent vers le bas : le nombrilisme & ses caprices, la corruption, la drogue du pouvoir ou du profit, notre attirance par ce qui est rare avec ses conflits, toutes les religions intolérantes, la soumission, l’uniformisation sociétale & des genres humains, l’alcool, les infos convaincantes de la thèse de « l’homme mauvais », le sucre, les médocs, la chimie moderne, l’impatience, les traumatismes & chocs émotionnels mal gérés, l’ignorance de l’artiste qui est en nous, la surpopulation, ... Pour une discussion constructive, à défaut, je suis certain que des petits curieux sauront y puiser l’élixir en question. LONGUE VIE AU GUARANA. Si on apprenait de la culture indigène, on serait moins c.. Un naïf peut-être mais avec un projet raisonnable.
@CyrArno de Barges raquent Toi, t’es le 1er à chauffer. Si tu savais mon pauvre, comme tes critiques fécales me flattent, « Si Guano de barjot raque », c’est qu’il reste du whisky dans le coin, on est malheureux quand on a la haine et ça rend vieux. Ca ressemble à de l’humour d’alcoolo ton aparté. Si c’est pas pitoyable, pas d’énergie pour les vicelards, j’ai mieux à faire, et toi qui s’ennuie, vomis ton venin qui n’a rien d’autre comme inspiration que tes latrines, ça me passe au-dessus, tu te discrédites auprès des autres lecteurs. Merci d’avoir raté le coche, les autres jugeront d’eux-même.