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cyril

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  • cyril 27 janvier 2017 17:03

    Pathétique. Vous pouvez retirez le R de PCRF car ce que vous dites est digne dy PCF d’autrefois.

    Vous êtes pour l’exploitation par le travail capitaliste de toutes et de tous.

    Rien de nouveau sous le soleil.

    Vous ne comprenez rien à ce qui se joue de nos jours.

    La finance n’est pas la cause de la crise structurelle du capitalisme, mais la conséquence du manque de rentabilité du capital dans l’économie productive de marchandises (relisez Marx).

    Les gains de productivité liés à l’informatisation et la micro-électronique font que le travail humain vivant se raréfie. Ce ne sont pas les services qui pallieront cela.

    Pour l’ économie circulaire, cela revient à rationaliser et optimiser le procès de production. Et en vous lisant, il faut donc plus de déchets pour que cela tourne mieux ! c’est pathétIque.

    Ce que vous proposez, c’est le GOSPLAN à la papa où les travailleurs n’ont qu’à la fermer et produire toujours plus pour une illusoire émancipation qui ne viendra jamais dans le cadre de votre économie capitaliste quand bien même elle serait planifiée.

    Il n’ ya rien à attendre de vous, du PCF, du front de gauche.



  • cyril 28 décembre 2016 14:19

    Le capitalisme ne s’est jamais préoccupé de la force de travail, donc de l’humain. Son but est de valoriser l’argent.

    La question du revenu universel n’est pas la bonne question. Car qui dit revenu dit ponction sur la survaleur crée par le travail humain vivant.

    Le contexte est que les gains de productivité ont tellement étaient énormes depuis l’avènement de la micro électronique que le travail humain vivant disparaît à grande échelle. Or c’est ce travail humain vivant qui crée la valeur dans la marchandise. Cette valeur diminue inexorablement à cause de la concurrence entre capitalistes. Cette productivité impactant tout le monde dans l’économie.

    Vous avez donc une dévalorisation générale de la marchandise que vous ne pouvez compenser que par une augmentation de la production, par la création de nouveaux débouchés. D’où le productivisme, l’obsolescence programmée, la destruction des services publics et la transformation en marchandise de beaucoup d’aspects de notre vie.

    Le rôle de l ’Etat est d’assurer la pérennité de ce système en gérant tant bien que mal les nuisances. C’est pourquoi on entend toujours parler de croissance, d’innovations, de talents, de gestion de l’emploi, etc...

    La destruction de l’emploi inhérente au capitalisme fait qu’une marchandise contient moins de valeur du fait de la productivité. Cependant, le système a besoin de plus en plus de ce travail, d’où contradiction fondamentale.

    Nous assistons aujourd’hui au délitement de ce système qu’aucune politique ne saurait contrecarrer.

    La croissance est essentiellement portée par l’industrie financière et ne repose que sur du vent. Il n’ y a pas réalisation dans l’économie productive. La prétendue financiarisation du capitalisme n’est pas la cause de la crise mais le symptôme de la crise structurelle du système.

    Le revenu universel ne permettra que de garder un semblant de consommation, mais ne résoudra en rien le délitement du système. Il fera de nous toujours des assujettis à l’économie avec un petit pécule pour survivre.

    De plus, l’ Etat pour pouvoir fonctionner ponctionne sur la survaleur créée, or cette survaleur diminue, donc l’ Etat doit soit prendre des mesures d ’austérité pour être crédible et pouvoir emprunter sur les marchés et qui nous enfonce dans lé récession ou alors relancer par des mesures keynésiennes, mais augmente les dettes sans créer de valeur ou marginalement.



  • cyril 4 novembre 2015 19:37

    La répartition, c’est du fric qui ne va pas aux marchés, à la spéculation.

    La capitalisation, c’est bénéf pour les escrocs de la finance. Allez voir ce qu’en pense tous les floués suite aux subprimes.

    La cotisation est la peur des capitalistes. C’est de l’argent qu’il ne peuvent accaparer.

    La cotisation donne des droits, l’épargne donne ce que tu peux épargner.

    Le bobard du « moins d’actifs » revient. C’est une contre vérité. La France n’a jamais été aussi riche (on peut se poser la question si le contenu de cette richesse répond à des vrais besoins). Il n’ y a aucun problème de financement (autant pour les retraites que pour la sécu).

    Il s’agit d’une question de politique. Depuis plusieurs décennies, la révolution dite néolibérale permet tout simplement à la classe dominante (un peu ancienne et surtout nouvelle) de retrouver toute sa puissance et donc son pouvoir. Cette révolution sous couvert du mot liberté ne fait que ponctionner aux salariés, aux plus faibles les richesses qu’ils créent.

    Petit rappel : dès 1947, la sécu et le régime de retraites par répartition étaient attaqués par la classe dominante.



  • cyril 29 octobre 2015 13:02

    Rien de nouveau dans ce qui est dit.

    La seule liberté qui vaille est capitaliste, c’est une évidence.

    Il est aussi évident que l’humanité a perduré grâce à la compétition. A bas les loosers

    Il manque quand même une petite chose dans ces arguments : l’ économisme détruit nos milieux de vie, détruit les ressources naturelles, détruit notre humanité, détruit le travail vivant intéressant, épanouissant, utile.

    Continuons à faire du fric ; à tout détruire ; à survivre dans une société égocentrique, individualiste, de la compétition de tous contre tous. Une société où la soit-disant liberté c’est d’entreprendre en laissant de côté la Vie.

    Vive les futurs cyborgs !



  • cyril 7 octobre 2015 16:49

    Dans une société de marché où l’on nous parle que de compétitivité, d’innovation, il est normal qu’il y ait des conflits ! Le dialogue social cela n’existe pas, ainsi que les soit-disant partenaires sociaux. Les pilotes d’ Air France sont peut-être des nantis, mais ils font peur au pouvoir car ce ne sont pas les CONTI que l’on a méprisé comme de sous hommes ! Ces pilotes dérangent car nous ne sommes pas habitués à voir des salariés bien payés se révolter contre les exterminateurs que sont les cadres du top management et autres cabinet de conseil. De plus, ils pourraient donner des idées à d’autres !

    Les syndicats ne sont pas à interdire, mais à promouvoir afin que les salariés se syndiquent massivement. Bien entendu, il ne faut pas de syndicats accompagnateurs, réformateurs, mais des syndicats de combat face à l’ennemi !

    Pour en revenir aux pilotes d’ AIr France, je vous conseille d’aller sur le site de BASTA et de lire l’article concernant un jeune pilote ayant travail pour RYANAIR. Où il apparaît que ces compagnies low cost se gavent de subventions, fraude l’ URSSAF plein pot et sont expertes comme beaucoup d’autres en évasion fiscale.

    La France n’est pas un pays qui fait peur ! C’est un pays où les capitalistes et autres institutions financières prédatrices adorent s’installer pour bénéficier de nos infrastructures, des diplômés, du paradis fiscal concernant le R&D, etc...

    Ce ne sont pas les salariés d’ Air France qui ont mis cette société dans cet état, mais tous les soit-disant « élites » qui l’ont mal géré !


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