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Damien Vidal

Damien Vidal

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  • Premier article le 30/05/2006
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Derniers commentaires



  • Damien Vidal Damien Vidal 25 juillet 2006 17:52

    Well, le nazisme était tout sauf libéral mon cher. Sa politique économique était on ne peut plus Keynésienne : grands travaux, commandes d’état, etc ...



  • Damien Vidal Damien Vidal 24 juillet 2006 13:03

    Le fait de ne pas être limitée n’empêche pas une science de progresser, je ne vois pas le rapport. D’ailleurs les mathématiques peuvent évoluer même sans changement de l’axiomatique. La météorologie est dans certains cas facile à benchmarker (néologisme, mais assez pratique), ce qui n’est pas le cas des modèles économiques. La difficulté vient du comportement chaotique du système (« effet papillon ») mais les lois qui régissent le système sont assez bien connues (même si il reste des parts d’ombre). Dans certains cas d’ailleurs, en particulier pour les prévisions à très long terme le benchmarking est difficile car les données historiques manquent. On voit alors des modèles très différents s’affronter, tous justifiables. Exemple type : le réchauffement climatique. En économie, le problème est que le comportement de la particule (l’être humain) n’est pas déterministe (l’homme n’est pas rationel, tous les modèles qui considèrent un Homo Economicus purement rationnel ont de grosses failles). Dans un sens cela se rapproche de la physique quantique, mais avec un inconvénient supplémentaire : en physique on peut faire une étude statistique du comportement des particules. Si vous faites passer un photon dans un trou circulaire fin, je suis incapable de vous dire ou il va arriver, et c’est impossible à déterminer d’après les théories récentes. En revanche si vous en faites passer quelques milliards je peux vous dire précisément quelle sera la figure de diffraction (tache d’Airy). On fait la même chose en économie mais avec quelques difficultés supplémentaires : - On ne peut pas trouver de lois statistiques pour expliquer tous les comportements des humains - Les particules n’ont pas de volonté : ca aide pour la modélisation ^^ - Les décisions politiques, un accident industriel, etc ... peuvent changer les conditions du marché alors que les lois physiques sont stables.

    On peut malgré tout tirer des conclusions, faire des modélisations mais il faut garder en tête qu’il ne s’agit que de modélisations, qu’il faut adapter en fonction de leurs faiblesses.

    « Par essence du fait du modéle mathématique utilisé. » On s’est simplement aperçu qu’un tel modèle décrivait mieux la réalité. Le problème n’est pas lié à l’impossibilité de résoudre des équations mais à la modélisation physique elle même.



  • Damien Vidal Damien Vidal 24 juillet 2006 12:28

    « La propriété n’est pas un droit naturel, même si les partisans libéraux essayent toujours de nous en convaincre » On peut toujours ergoter la dessus. Quoi qu’il en soit, c’est un des droits de l’homme. (article 17 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, article 17 de la déclaration universelle des droits de l’homme). J’ajoute que tous les pays ayant contrevenu à ces articles ont aussi gravement contrevenu aux autres articles de ces déclarations. La perte de liberté au niveau économique s’est toujours doublée d’une perte de liberté au niveau politique et social. Choisissez votre camp camarades ^^



  • Damien Vidal Damien Vidal 24 juillet 2006 01:57

    « L’économiste fait face auX limiteS des scienceS mathématiqueS. Un physicien n’est pas plus capable de prédire où sera une particule. »

    Les mathématiques n’ont en soit pas de limite puisqu’elles sont basées sur des postulats et qu’il est toujours possible de créer de nouvelles théories pour modéliser un phénomène. Les modèles économiques ne demande d’ailleurs généralement que des connaissances mathématiques assez limitées. Résoudre les équations d’un modèle économiques est facile. En revanche établir un modèle représentant bien la réalité est complexe. Un économiste qui prétend que « les calculs prouvent que ... » est un escroc. Un calcul ne prouve rien du tout. Un modèle est nécessairement approché, valable dans un ensemble de circonstances, éloigné de la réalité dans d’autres cas. Ceci est d’ailleurs tout aussi vrai en physique. Utiliser les lois de la mécanique classique pour étudier le mouvement d’un voiture est tout à fait justifié. Pour étudier le comportement d’une particule à une vitesse élevée (proche de celle de la lumière) c’est ridicule : les résultats seront complêtement faux.

    PS : l’impossibilité de déterminer le mouvement d’une particule n’est pas lié à une difficulté mathématique mais au fait qu’en physique quantique, la position d’une particule est incertaine par essence.



  • Damien Vidal Damien Vidal 22 juillet 2006 02:07

    Alternatives économiques reste, qu’on le veuille ou non un journal plutôt à gauche.La vision des sciences économiques qu’il présente est pour le moins partielle, et c’est à dessein que j’utilise cette adjectif, moins dévalorisant que « partial ». Un professeur a le devoir de présenter les alternatives, libérales, Keynésiennes, Marxistes, etc ... Il ne peut ni ne doit se limiter à une école de pensée. J’ajoute pour notre cher ami social démocrate que le fait de traiter ses adversaires d’incultes et d’écrire « mort de rire » ne constitue pas un argumentaire. On pourrait par exemple discuter autour des chiffres même si ceux ci peuvent être sujet à caution. Cela serait en tout cas plus productif que de s’insulter.

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