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DANIEL NAESSENS

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Derniers commentaires



  • DANIEL NAESSENS 24 janvier 2011 14:05

    Frédéric Bonneau...La connitude et la suffisance poussées à ce point, c’est sidérant....Mais bon, il est pas à la rue, il a un emploi bien payé et peut tranquillement cracher à la gueule du peuple....N’empêche l’aide aux handicapés du bulbe poussée à ce point , ça en devient insultant...



  • DANIEL NAESSENS 21 janvier 2011 11:50

    @ "Politeia (xxx.xxx.xxx.77) 21 janvier 10:39

    De ce point de vue la France n’a pas grand chose à leur envier. Il n’y qu’a regarder les derniers enlèvements en Afrique. Sont t’ils si illégitime que ça ?

    . Même les pires salauds trouvent toujours le moyen de légitimer leurs saloperies... Mais ce qui est minable c’est qu’il se trouve toujours des petites mains pour les approuver. Quand un de vos proches se fera zigouiller au nom de votre « légitimité » ne venez pas pleurer sur le cadavre...



  • DANIEL NAESSENS 17 janvier 2011 20:48

    @PASTORY

    En dehors de tendances lourdes à la collaboration et à la trahison les mouvements soit disant « anti racistes » ou « droits de l’hommisme » (voir notes de lecture plus bas) ,ces mouvements ont développé un fort sens de la cécité et du mépris de la démocratie et des libertés publiques.
    Notons que pour les mouvements nés aprés guerre on remarquera le MRAP - un yoyo communiste et SOS Racisme-yoyo socialiste.




    notes :
    Objet : Le paradoxe français – Simon Epstein – Albin Michel 2008 (624 pages)

    Le paradoxe français de Simon Epstein, historien français qui réside à Jérusalem, bouscule nombre d’idées reçues et de clichés sur les années 1920,1930 et 1940, qui pèsent fortement sur les grands débats de société contemporains. L’auteur s’appuie sur des centaines de parcours individuels qu’il analyse sans parti pris tout en dénonçant les manipulations de l’histoire officielle depuis 1945.

    Il montre, au rebours de croyances largement répandues, comment une partie de la gauche antiraciste des années 1920 et 1930, mobilisée autour de la LICA[1], s’est massivement ralliée au pacifisme en 1938, avant de rejoindre le régime de Vichy ou les mouvements ultra collaborationnistes. A l’inverse, il souligne que la droite républicaine mais aussi les partis « nationaux » – Camelots du roi ou Jeunesse patriotes – ont joué un rôle décisif dans l’essor de la Résistance française à ses débuts.

    I/ Exemples de personnalités du régime de Vichy venues de la gauche antiraciste

    René Belin, numéro 2 de la CGT déclare à la revue anti-raciste « Droit de vivre » en juin 1939 : « La classe ouvrière est profondément anti-raciste. Je suis entièrement d’accord avec l’action de la LICA ». Cela ne l’empêche pas de devenir ministre de la production industrielle et du travail du maréchal Pétain et de figurer parmi les signataires du statut des Juifs du 8 octobre 1940.

    Gaston Bergery, membre du parti radical, écrit en 1936 « Le racisme et l’antisémitisme sont contraires à l’idée de Nation… C’est la diversion, le recherche du bouc émissaire, et c’est là une opération abominable ». Cependant, il vote les pleins pouvoirs à Pétain le 10 juillet 1940, devient un militant actif de la Révolution nationale et de la collaboration, avant d’être nommé ambassadeur du maréchal à Moscou puis à Ankara.

    Georges Bonnet, député radical-socialiste, ministre des affaires étrangères en 1938 et 1939, président d’honneur du « Deuxième congrès international du rassemblement mondial contre le racisme » déclare en 1938 « La France doit donner l’hospitalité à tous ceux dont la vie est menacée ». Pourtant, lui aussi devient un notable de Vichy et approuve la rencontre de Montoire entre Pétain et Hitler dont il salue le « caractère historique » car « marquant le début d’une organisation nouvelle de l’Europe dans laquelle la France et l’Allemagne, chacune avec son génie, doivent tenir une place… »

    Gratien Candace, député de gauche de la Guadeloupe proclame en janvier 1939 que « le racisme est la plus grande honte politique et sociale du XX ème siècle ». Lui aussi vote les pleins pouvoir au régime du maréchal Pétain et entre dans le « Conseil national » de Vichy. Charles Pivert, militant à la SFIO déclare lors d’un congrès de la LICA que « le fascisme comme le racisme, est un état de régression sociale ». Pourtant, il adhère sons l’occupation à une organisation collaborationniste « France-Europe » et écrit dans la revue « Germinal ». Eugène Frot, député socialiste, plusieurs fois ministre, est membre d’honneur « du centre de liaison des comités pour le statut des immigrés » (lié à la LICA). Il vote pour Pétain en juillet 1940, intègre le Conseil national de Vichy et « l’amicale lavaliste ».

    II/ Intellectuels, écrivains, journalistes

    L’auteur cite divers intellectuels et écrivains, connus pour leur engagement humaniste et antiraciste, dans les années 1920-1930 qui se sont ralliés au régime de Vichy, par pacifisme, et ont soutenu, à des degré divers, le principe de collaboration : Georges Blondel, René Laforgue, Marcelle Capy, Jean Cocteau, Jean Giono, Maurice Rostand, Marcel Aymé, Pierre Benoit, Jacques de Lacretelle, Marcel Jouhandeau, André Thérive.

    Les journalistes sont nombreux à avoir ainsi basculé de la défense des bons sentiments humanitaires et anti-racistes à un soutien inconditionnel du régime du maréchal Pétain : Emile Roche et Pierre Dominique (« La République »), Robert de Beauplan, Stéphane Lauzanne (rédacteur en chef du Matin), Léon Bailby (Le Jour), Alain Laubreaux (l’Oeuvre, journal de gauche avant l’occupation). Certains vont même prendre des positions pro-allemandes : Pierre-Antoine Cousteau (rédacteur en chef de Paris-Soir) ; Jean Luchaire (patron des Nouveaux Temps), homme de gauche dans les années 1920 et 1930, devenu hitlérien après l’occupation.

     

    III/ Personnalités de l’ultra-collaboration

    Deux sont particulièrement célèbres :

    Marcel Déat, député SFIO, crée l’Union socialiste républicaine en 1935 et soutien le Front populaire, membre du comité de vigilance antifasciste, chantre de l’antiracisme dans les années 1920 et 1930 : « Il n’y a pas de pays qui soit plus réfractaire que la France à la notion de race, elle qui est l’admirable résultante historique de mélanges constants et de métissages indéfinis »… Les bons sentiments de Marcel Déat le conduisent au pacifisme (« Mourir pour Dantzig, non !), puis le transforment en partisan fanatique de la collaboration avec le Reich hitlérien.

    Jacques Doriot dirige les Jeunesses communistes à partir de 1923, maire de Saint Denis en 1931, haut responsable du PCF, il crée sont parti populaire français en 1936. Dans les années 1920, il est l’avocat passionné de l’antimilitarisme et de l’anticolonialisme. Contrairement au reste du Parti communiste, il est proche de la LICA, condamne avec véhémence le racisme et l’antisémitisme. A partir de 1940, il prône l’intégration de la France dans l’Europe nationale socialiste, crée la légion française des volontaires qui combat en Russie aux côtés de la Wehrmacht.

    L’auteur ne se limite pas à ces deux noms et présente le parcours de nombreuses personnalités, plusieurs centaines, venues de la gauche, dans les années 1920-1930 le plus souvent socialistes ou communistes, qui ont ainsi basculé du culte des bons sentiments humanistes à l’engagement ultra-collaborationniste, par exemple : Marc Augier (mouvement des auberges de jeunesse), Jean-Marie Marcel Capron (maire d’Alforville, PC), Jean-Marie Clamamus (maire de Bobigny, PC), Paul Perrin (député SFIO de la Seine), André Grisoni (radical-socialiste, maire de Courbevoie), Maurice Levillain (président du conseil général de la Seine – SFIO), Barthélémy Montagnon, Paul Rives (SFIO), René Château (député radical-socialiste, membre de la ligue des droits de l’homme), Claude Jamet (proche des communistes et des socialistes), Camille Planche (SFIO), Léon Emery (ligue des droits de l’homme, comité de vigilance anti-fasciste), George Dumoulin (CGT, SFIO), Maurice Ivan Sicard (venu de l’extrême gauche anti-fasciste), Pierre Thurotte (SFIO), Pierre Bonardi (LICA), Adrien Marquet (SFIO, maire de Bordeaux), etc.



  • DANIEL NAESSENS 17 janvier 2011 13:34

    La France a bon dos.
    Aux Tunisiens de prendre en mains leur destin !

    Moi je n’ai pas honte de la France. A la limite l’attitude couarde et minable de Mam ou Sarko m’indispose. Autant que les manifestations de haine de soi ou les coups de poignards dans le dos des obsédés de la repentitude.

    Aprés....Nous n’avons pas à nous ingérer dans les affaires des autres nations.
    Mais de fait nous nous ingérons dans les affaires du Niger (qui tient l’uranium) de la même façon que l’Arabie Saoudite ou les USA s’ingérent en permanence dans nos affaires (parce que eux tiennent le pétrole et la finance).

    J’espére que la France va aider rapidement la Tunisie, par exemple en matiére alimentaire.
    Même cela sera une ingérence dans les affaires tunisiennes pourtant !

    Et si demain les Tunisiens (dont 600000 français qui possédent aussi la nationnalité tunisienne ...) portent au pouvoir des petits tyrans islamistes qui se feront un plaisir de pendre haut et court ces étudiants et ces jeune femmes, cheveux au vent, qui bravaient la police que faudra t- il faire ???
    Se repentir encore ????

    Pétain disait qu’il assumait toutes les promesses même celles des autres.
    Les enfants de Pétain, les culs benis de SOS Racisme ou les milicos des « droits de l »homme" , accusent la France de tous les crimes, même ceux des autres.




  • DANIEL NAESSENS 16 janvier 2011 12:56

    Si demain des attentats , bombes dans le métro et autres, sont commis par des petits blancs genre skin head.
    Si demain des émeutes , des incendies de voiture à répétition,sont commis par des petits blancs genre skin head.
    Si demain les trafics de drogue, la traite des blanches , le racket,,sont commis pour beaucoup par des petits blancs genre skin head.
    Vous ne serz pas étonné ni scandalisé si une grande partie des controles de police sont effectués sur des petits blancs genre skin head.
    Aujourd’hui personne ne s’étonne que 90% des personnes en prison pour délits financiers soient blanches et de culture chrétienne.
    Si je mets en regard le type d’argumentation déployée par ces assocs bidons type MRAP, il faudrait en déduire que ces 90% de délinquants financiers ont été surtout victimes de délits de faciés, et que les personnes de couleurs sont rarement controlées ou appréhendées en raison du racisme anti-blancs de la police chargée des délits financiers.


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