Quand on cherche sur Wikipédia « cerveau artificiel », on trouve entre autre qu’une vie pourrait tenir sur 80 To et qu’en 2050, on pourrait éventuellement télécharger le contenu d’un cerveau.
Pensez-vous qu’arrivés à ce stade, on aura prouvé qu’on est que des machins téléguidés et que notre conscience n’est qu’un équivalent de programme informatique dont une des fonctions est de savoir qu’il existe et dont découle le principe d’identité ?
Pensez-vous qu’en injectant ce programme dans un supercalculateur, on pourrait se dire tiens, c’est marrant, maintenant, je suis à l’intérieur de ce machin ?
Et ne pensez-vous pas que pour expliquer le fonctionnement d’une caméra, filmer un film n’est pas forcément la bonne voie ?
Vous dites : "Les WASP n’hésiteront pas à utiliser les armes découlant des
technologies intelligentes pour éliminer, y compris physiquement, leurs
opposants, à l’extérieur comme en interne." A fortiori, la technologie ne nous laisse d’autre choix de que la suivre, toutes les civilisations n’en disposant pas ayant déjà ou étant entrain d’être anéanties par elle, pourquoi cela changerai et en quoi cela constituerait une nouveauté ?
Quand l’être humain aura compris que la plupart de nos technologies ne servent qu’à nous faire tourner en rond pour éluder la grande question de la vacuité. Quand nous aurons compris que notre vie est un grand théâtre. Quand il y aura plus de spectateurs que d’acteurs. Alors nous pourrons applaudir bien fort et puis ouvrir grand les portes pour sortir prendre l’air frais et la lumière.
Avant... Avant, nous courrions dans la forêt et dans l’herbe, on inventait des jeux avec des cailloux et des bouts de bois, nous étions encore libre de créer notre univers d’enfants... Maintenant, pour ma part, je suis parent, mais les rues et les sentiers sont bien déserts de toute jeunesse...les game box et autres conneries virtuelles, c’est tellement plus important et pis la promenade avec les vieux, c’est tellement chiant et ringard.
Pour compléter, voici la publication y relative de l’IRA :
Sur mandat du Centre romand de médecine légale (CURML), l’Institut de
radiophysique (IRA) a réalisé des mesures de radioactivité sur les affaires
personnelles de l’ancien président de l’autorité palestinienne, M. Yasser
Arafat.
Toutes les mesures se sont avérées négatives, sauf celles
relatives au polonium-210. L’interprétation de ces mesures est difficile car les
valeurs mesurées sont basses et les niveaux de référence normaux mal connus. En
particulier, le fait qu’il se soit écoulé plus de 8 ans entre le moment du décès
et la mesure implique que si du polonium artificiel était présent au moment du
décès, son activité aurait eu le temps de décroître d’un facteur 1 million.
Toutefois, les échantillons où des traces de liquides biologiques sont présentes
tendent à avoir des activités significativement plus élevées que celles des
échantillons non-portés par M. Arafat. De plus, en mesurant trois mois plus
tard, les échantillons les plus actifs, nous avons pu évaluer les proportions de
polonium dites « supportées » ou « non-supportées » par le plomb-210. Tous ces
échantillons ont présenté une composante non-supportée supérieure à 50% ; ce qui
rend plausible une origine non-naturelle du polonium.
Ces résultats
indiquent donc qu’une quantité inexpliquée de polonium-210 a été mise en
évidence sur les effets personnels de M. Arafat. Ce n’est toutefois pas
suffisant pour déterminer les causes du décès.
En particulier, on rappellera
que, contrairement à ce qui est arrivé à l’ex-espion russe Alexandre Litvinenko,
M. Arafat a conservé ses cheveux et que l’expertise médicolégale présente des
aspects incohérents avec un syndrome d’irradiation aigüe.