A tous ceux qui veulent rétablir la justice et qu’on parle des violences faites aux hommes par leur compagne : En France, au cours de l’année 2008, la délégation aux
victimes du Ministère de l’intérieur a constaté que 184 personnes sont
décédées, victimes de leur partenaire ou ex-partenaire de vie (conjoint,
concubin, pacsé ou ex-dans les trois catégories). De ce rapport il
ressort que tous les deux jours en France, un homicide est commis au
sein du couple. 156 femmes sont décédées en une année, victimes
de leur compagnon ou ex-compagnon, 27 hommes sont décédés, victimes de
leur compagne ou ex-compagne (rapport 1/5 environ). 1 femme est tuée par son partenaire ou ex
partenaire tous les 2 jours et demi, 1 homme tous les 14 jours. Les femmes sont les victimes dans 84,4 % des cas.
Bonjour, Dans l’ensemble je trouve que cet article manque de chiffres pour étayer ces arguments. - la crise qui a tendance à augmenter ce phénomène : chiffres ? - chaque année même il semble que la situation s’aggrave, que les faits divers se multiplient : chiffres ? - Les femmes de milieu modeste subissent aussi plus fréquemment des violences sexuelles : chiffres ?
S’attaquer au problème de la violence faite aux femmes ne sert à rien si on ne s’attaque pas en même temps au problème de la violence envers les enfants.
@Jimmy D’après Muriel Salmona de l’association mémoire traumatique, les allégations mensongères en matière de viols représentent moins de 3 pour cent, sont-ce ceux-là que vous dites être bien plus nombreux qu’on veux bien l’admettre ?
Jimmy, ne faites-vous pas un amalgame entre viol et accouplement lorsque vous dites que le viol fait partie de la vie ? Que vous parliez de viol en ce qui concerne la reproduction chez les mammifères car elle se fait violemment pourquoi pas. Mais en généralisant ce phénomène aux agressions sexuelles, vous sous-entendez que l’agresseur (homme ou femme) qui commet une agression sexuelle est animé par une volonté de reproduction de l’espèce humaine. Je m’excuse mais je ne pense pas que ce qui se passe dans la tête de l’agresseur avant, pendant et après l’acte d’agression sexuelle soit un désir irrépressible de paternité ou de maternité. En réalité je pense que c’est beaucoup plus complexe que cela.
Ah tiens "la destruction des repères familiaux, parentaux, moraux depuis trente
ans a un effet direct sur l’agressivité des adolescents, notamment les
garçons qui n’ont pas reçu la salutaire paire de gifles paternelle". Et moi qui croyait que c’était à cause du peu de considération qu’on a pour les enfants dans notre société. Et qu’à force de voir les adultes ne pas tenir compte de leurs sentiments ils deviennent agressifs parce que c’est le seul moyen pour eux d’éprouver quelque chose. Cet article est-il une synthèse personnelle de lectures de documents rédigés par des spécialistes du sujet ? De quel sujet d’ailleurs ? parce que je m’y perd un peu