Décoder l’éco

@V_Parlier
Béni soit la Covid qui nous a permis de régler le problème de la surcharge hospitalière.
Castex avait instauré la T2A pour inciter gentiment les hôpitaux à abandonner les vieux qui crèvent chez eux en toussant tous les hivers. A la place, on « dépiste » tous les 3 jours les « potentiels malades » de cancers. Les « nouvelles technologies » permettent de dépister les cancers « bien plus tôt » et « d’augmenter les chances ».
On trouve d’ailleurs depuis qu’on dépiste « beaucoup plus de cancers » sûrement dû à la pollution et au « changement climatique ».

Ces bisounours des hôpitaux n’avaient pas compris le message avec la T2A. Il restait toujours des vieux briscards qui continuent de vouloir soigner les gens l’hiver et qui ont pigé qu’il n’y a pas d’augmentation de cancers ailleurs que des les bénéfices des laboratoires.

Il y a une énorme augmentation des tests qui trouvent des microkystes. Cela permet de déclencher la prise en charge pour les enlever et injecter une batterie de saloperies à l’heureux cobaye.
Comme l’humain est assez costaud, il s’en sort assez souvent. On pourra dire que c’est grâce à la prise en charge précoce et aux bons soins.
Quand il ne s’en sort pas, on dit que c’est la faute du cancer et surtout pas du « nouveau traitement RE-VO-LU-TION-NAIRE » qu’on vient d’essayer sur lui.

Tout ça, sans que jamais on n’ai pu prouver que les cancers non-mortels auraient de toute façon été non-mortels sans prise en charge et que le ratio bénéfice/risque est supérieur à 1.
C’est la magie des cancéreux et des sidéens depuis 30 ans : convaincus de leur morts prochaines avant l’heure, on peut tout leur faire. En plus ils signent et ils disent merci...

Cette folie du test cancer est la même que la folie du test Covid. Elle a permis de terminer la transformation de l’hôpital : machine à pognon et essais cliniques grandeur nature.

@Fergus
Un antiépileptique pour « soulager les malades ». Ben voyons.
Tenez, lisez les contre-indications dans le Vidal : https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/rivotril-8874.html
En cas d’insuffisance respiratoire, ce médicament « soulage » le patient de sa respiration : il l’arrête.
C’est sûr, qu’après on l’entend plus trop se plaindre. Sûrement parce qu’il a été convaincu.

Il y a encore des gens qui pensent que tout ceci à du sens.

Entièrement d’accord avec le fait qu’il n’y aura pas de retour arrière.

En revanche cette croyance idéologique dans les contaminations vous rend parfaitement complice de la situation. Tant que vous justifierez le fait que « l’autre » est un ennemi contaminant, vos textes seront vains. Vous légitimez la répression actuelle sans même vous en rendre compte.

Quelle fascination sans borne pour le masque… Est-ce un résidu d’égalitarisme de gauche souhaitant instaurer le « voile pour tous » ? D’ailleurs, il s’agit bien des mêmes raisons de « contamination » dans les 2 cas.

@Eric F
La recette est documentée par la consommation faite de ces différents produits et analysées de bien des manières.
On a même vu des contrefeux allumés par les médias : « Le Rivotril comme drogue récréative ». C’est bien connu que tous ces junkies de plus de 65 ans se sont passé le mot en avril 2020 pour l’acheter en version injectable.
Jusqu’où iront-ils ?

Je suis bien d’accord que le propos que vous qualifier « d’excessivement caricatural » a toute sa place dans un livre d’humour noir. Le terme Pour cette raison, il m’arrive régulièrement de me fendre la poire en lisant la presse.

Comment autant de gens peuvent-ils continuer à raconter autant de conneries en voulant masquer les atrocités réalisées depuis 2 ans ?
Si on s’en sort on dira que les seulement doubles vaccinés étaient des résistants, et que nos dirigeants n’ont fait que leur devoir pour nous protéger comme nous l’avons fait il y a 70 ans.