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Décoder l'éco

Décoder l’éco

Fait des statistiques au lieu de dormir !

Tableau de bord

  • Premier article le 20/01/2020
  • Modérateur depuis le 10/02/2020
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Derniers commentaires



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 3 novembre 2022 16:39

    @Adèle Coupechoux
    Il faut comprendre que « Nous sommes en guerre », mais pas contre un virus.
    Globalement contre toutes les émanations de l’ONU.
    L’OMS pour la santé,
    le FMI pour l’économie,
    la FAO pour l’agriculture,
    la Banque mondiale pour la pauvreté,
    le GIEC pour l’écologie.



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 27 octobre 2022 11:40

    @lecoindubonsens
    Il n’y a pas de conflit inutile.
    La démocratie n’est pas autre chose que la conflictualité.
    Tout « consensus » n’est que le reflet de la mise en place d’un totalitarisme déguisé.
    Les salariés et les retraités ont des intérêts divergents. Il ne sert à rien de le nier, il faut gérer cette situation. La société est aujourd’hui dirigé par des retraités, qui se croient alliés des rentiers du capital, au détriment des salariés.
    On voit d’ailleurs fleurir des « j’ai droit à ma retraite parce que j’ai cotisé 42 ans ». Cela n’a absolument aucun sens dans un régime par répartition.
    Il y a des retraites parce que les salariés se font ponctionner une partie de leur salaire. Le temps travaillé avant retraite n’a pas de rapport. L’argent cotisé par les retraités a financé celle de leurs aînés.
    Il n’y a pas des retraités plus méritants que d’autre. A la rigueur, les seuls qui « méritent » quelque chose, sont ceux qui continuent de s’investir dans la société. Notamment dans les associations.



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 26 octobre 2022 15:08

    @lecoindubonsens
    Je vous invite à regarder les résultats des enquêtes de votes à la sortie des urnes.
    Macron a été élu par les retraités aisés. C’est un fait.
    Ce n’est pas parce que vous n’avez pas voté Macron que vous êtes représentatif des retraités aisés.
    Je ne connais personne dans mon entourage qui regarde la télé. C’est mon entourage qui n’est pas représentatif des Français.



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 26 octobre 2022 14:05

    @Eric F
    Ce qui fait exploser le coût de l’immobilier, en particulier des maisons, c’est la raréfaction de l’offre.
    L’offre de petite maison de ville n’existe plus. Si je caricature, il n’y a plus que des appartements de 2 sortes : HLM pour RSA et luxe pour cadres.
    Cela force ceux qui travaillent (ouvriers, employés, techniciens) à vivre à l’extérieur et à prendre leur bagnole tous les jours. C’est ce que Guilluy appelle la « France périphérique ».
    Je ne suis pas d’accord avec vous quand vous dites que les affairistes ne s’y intéressent pas. Le placement dans la pierre est considéré « sûr », tout comme les dettes des Etats. Or, il est obligatoire pour les établissements d’investissement de posséder des placements « sûrs ». Il y a donc bien une spéculation sur le marché immobilier qui créé des logements vides (car un logement loué perd de sa valeur). L’explosion des logements vides en France date de la loi de Sarkozy autorisant les banques d’investissements à détenir des logements.
    Oui ce placement n’est pas rentable quand il est mis à la location, mais il ne sert pas à ça. Il sert à créer du capital. D’ailleurs plus les banques d’investissement détiennent de logements vides, plus les prix montent. C’est rentable.
    Il y a donc double raréfaction : une offre qui s’uniformise et ne correspond pas au désir des gens, additionné d’un nombre croissant de logements vides.



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 26 octobre 2022 10:19

    @Eric F
    Il n’y a pas de paradoxe, mais des nuances.
    Les ménages modestes ne sont pas les ménages pauvres.
    C’est une question de déciles. Ne confondez pas les travailleurs du périurbain modestes et les pauvres de centre-ville au RSA vivant dans les HLM.
    Les premiers tentent d’être propriétaire de leur logement. Les seconds peuvent se diviser en 2 catégories : ceux qui essayent de ce sortir de cette situation et ceux qui s’en adaptent (en trouvant d’autres sources de revenus notamment).
    Pour les transports en commun c’est pareil. Les « aisés » prennent les transports en commun, les « riches » prennent leur bagnole pour 500m.
    Les modestes n’habitent pas dans les zones couvertes par les transports en commun (sauf peut-être en région parisienne avec le RER), mais les pauvres eux sont dans l’urbain bien couvert (avec transport gratuit le plus souvent).

    Le fait de devenir propriétaire ou de rester locataire dépend de plusieurs choses. D’une part le ratio prix d’achat/loyer

    . Si le nombre de mois de loyers correspondant à l’achat est supérieur au temps qu’on va rester sur place, alors pas sûr que ça vaille le coup.
    Les taux de crédit (en non pas d’emprunt, à moins que vous fassiez appel au marché financier pour acheter votre baraque) ne sont qu’un des paramètres. Ce qui compte, c’est le prix d’achat du logement par rapport à votre salaire pour savoir en combien de temps vous pouvez rembourser et ainsi calculer le montant global des intérêts. Donc le ratio prix d’achat/capacité de remboursement est le plus important. C’est ce dernier qui s’est effondré, grignotant de plus en plus le nombre de ménages pouvant accéder à la propriété et donc cessant de dépendre des autres pour se loger.
    Cette stratégie de rendre dépendant les gens est bien le vrai problème.

    Il me semble enfin que vous exagériez sur votre discours sur les retraités « très aisés ». dans l’article que vous citez, on lit :

    Si l’on remonte encore l’échelle des revenus, on retrouve de nouveaux gagnants. C’est le cas des retraités dont le revenu est compris entre 1.469 et 3.230 euros.

    Les perdants sont ceux entre 3 200 et 10 000 euros par mois. C’est la catégorie qu’on entend sur France inter expliquer qu’il faudrait qu’ils payent plus d’impôt.
    Barf, du moment qu’ils ont leurs piqûres...

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