Je pense que ça devait plutôt concerner les peuples au nord de la Chine, éleveurs et non les gens du sud (pas d’élevage) il y a aussi la question de l’intolérance au lactose, mais c’est sans doute une conséquence plus qu’une cause.
"Je
suis née et j’ai grandi en Chine, j’habite en France depuis 19 ans.
J’essaie de répondre à cette question en me basant sur les observations
de mes amis/entourage chinois, en Chine et en France et selon mon propre
vécu. Je crois qu’il y a plusieurs raisons : la principale est parce que
les chinois n’ont pas l’habitude de consommer du fromage. Avant, la
plupart des chinois, surtout ceux habitant (ou vivant) au sud du pays
(il n’y a quasiment pas d’élevage, donc pas de lait et donc pas de
produits laitiers) n’ont jamais mangé de fromage.
@Decouz Quand elle a tenté de contacter Sky News, elle n’a pas pu avoir de réponse à sa demande de correction concernant les faits, on lui a juste dit qu’il y avait un reportage à ce sujet qui passait sur la chaine, reportage qui ne faisait que répandre la fausse interprétation, elle savait que si Sky News corrigeait les autres sites seraient obligés de corriger. Elle en est même venue à douter ce qu’elle avait vu, pourtant habituée à prendre des photos, mais le jeune néerlandais qui avait filmé la même scène (site Bender) et qui montrait la même chose mais avec une vision plus globale, l’a conforté dans ce qu’elle avait vu, comme quoi le mensonge prend vite son essor et une fois parti il devient très difficile de rétablir la vérité, il y a un adage à ce sujet, c’est une donnée psychologique, les gens retiennent plus facilement la première information, peu importe qu’elle soit fausse, surtout si elle répond aux préjugés et qu’elle est martelée sans vérification.
Une photographe qui avait filmé un groupe de hooligans de Tel-Aviv attaquer un groupe de jeunes néerlandais explique que sa prise de vue a été immédiatement détournée par un internaute, dans un sens contraire, suggérant que les Hollandais avaient attaqué les Israéliens, puis cette vidéo a été reprise immédiatement par Sky News, colportant la même déformation calomnieuse, après elle a demandé des excuses aux médias, mais (de mémoire) seul un site allemand a répondu favorablement :
Ils étaient la depuis plusieurs jours, les chants qu’ils ont chanté bruyamment et publiquement représentaient des incitations à la haine raciale, ce qui constitue un délit, et dans un pays étranger de plus, sans parler de leur attitude par ailleurs.
Site consacré au foot : Violences à Amsterdam : qui sont les supporters du Maccabi ?
"Depuis les violences, massivement relayées, qui ont suivi le match
Ajax – Maccabi Tel Aviv ce jeudi 7 novembre, on assiste à un cas d’école
d’instrumentalisation. Des éléments de contexte sciemment éludés,
parallèles historiques douteux avec les heures sombres des pogroms ou
encore la proximité de la maison d’Anne Frank : tout est fait pour coller
au narratif du gouvernement israélien. L’énergie mise par un nombre
important d’éditorialistes pour faire passer les supporters du Maccabi
Tel Aviv pour de simples citoyens pris pour cible “parce que juifs”, est
un procédé dangereux...
Les violences qui ont eu lieu après le match ont en réalité commencé la
veille dans le centre d’Amsterdam, où de nombreux fans radicaux du
Maccabi Tel Aviv s’étaient retrouvés. Ils se sont alors distingués par
des incidents majeurs : agressions de passants ou de chauffeurs de taxi
d’origine arabe, arrachage de drapeaux palestiniens, chants racistes et à
la gloire des criminels de guerre. Sur les vidéos qui circulent sur les
réseaux sociaux, on les entend clairement chanter “Que Tsahal gagne et
nique les Arabes !”, ou encore “Il n’y a pas d’écoles à Gaza parce qu’il
n’y a plus d’enfants !...
Ces chants pro-génocide entonnés dans les rues d’Amsterdam, relativisés
par le traitement médiatique, sont ancrés dans l’idéologie des Maccabi
Fanatics qui n’ont pas attendu le 7 octobre 2023 pour déverser leur
racisme anti-arabe. A quelques nuances près, le groupe est parfois
considéré comme le pendant à Tel Aviv du groupe La Familia, hooligans
d’extrême-droite du Beitar Jérusalem. Comme eux, ils n’ont pas hésité à
jouer les gros bras du régime comme lorsqu’ils ont attaqué et blessé des
manifestants anti-Netanyahu au moment des mobilisations qui avaient
suivi la crise du Covid-19 en 2020."