Sans rien enlever à l’analyse de la personnalité de Mr. Berlusconi et de Carla Bruni, je me permets de nuancer un peu cette histoire de "bronzage" : dans une "certaine’’ société italienne, le bronzage est devenu un signe de richesse et de réussite sociale : on peut se permettre des belles vacances et l’exhiber ainsi. Il n’y a qu’à voir les shows tv transalpins pour comprendre que ce qu’a motivé les paroles du "cavaliere" ne sont pas l’expression d’un racisme latent, mais d’une certaine envie. Amha Berlusconi reveraît d’avoir la même couleur de peau de Obama...