Citoyenne du monde, française par hasard, pas trop sotte par chance. Déjà un bon demi-siècle de vie, de réflexions. Inconditionnelle du respect mutuel, de l'écoute réciproque. En perpétuel questionnement, remise en questiion, une amoureuse des sourires, les yeux dans les yeux.
Je comprends tout ce que vous dites, et suis de votre avis. Les lois sont souvent détournées, toujours interprétées dans un sens ou son contraire, adaptées selon des contingences politiques, etc... Mais ce que vous dites si bien, se fera et se fait certainement déjà, sous le manteau. Ce que je veux dire est qu’une légalisation encadrée de l’euthanasie, pour les personnes qui le souhaitent, ne prêtera pas davantage le flanc aux dérives que vous décrivez. Dérives qui, à mon avis, existent déjà. Cette légalisation aurait au moins le mérite de ne pas imposer (de quel droit ?) une agonie non désirée.
Bonsoir « Euthanasie » :
Ce que vous écrivez est poétique, cultivé.. mais je ne vois pas le rapport avec le sujet dont nous traitons ! En clair... je n’y comprends rien
Bonsoir Minidou. Je partage et comprends tout-à-fait votre point de vue. C’est bien pour éviter de telles dérives, que je milite pour la légalisation de l’euthanasie, exclusivement pour les personnes ayant exprimé ce désir, de manière libre, éclairée et réitérée. A titre d’exemple, je ne suis pas en fin de vie, mais ai déjà rédigé mes « Directives Anticipées ». C’est-à-dire que j’ai déjà écrit, dit et répété que moi, Dejiha, ne veut en aucun cas survivre dans certaines conditions précisées. Vous pourrez vous informer ici : http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/les_directives_anticipees.pdf quant à la reconnaissance par la loi de ces directives. Vous apprendrez peut-être aussi la reconnaissance légale de la « Personne de confiance ». Je vous remercie de votre réponse pondérée qui permet le dialogue et l’échange. Cordialement à vous, Dejiha.