il faut avoir pris en charge un patient epr (etat pauci relationnel) pour realiser que bien souvent pour ces personnes la déchéance est telle que la veritable condamnation est de les maintenir artificiellement en vie. l’auteur parle de ce qu’il ne connait pas, il est indecent d’emettre des propos tellement extremistes sur un sujet dont on ignore tout.
leur fille est née avec un pénis. c’est donc leur fils. bien évidemment, le fait que l’enfant grandisse avec un « père » sans pénis n’a rien à voir avec son mal-être. bien entendu, dans le cas de cette famille d’un autre type, le schéma parental n’a aucun impact sur le développement bio-psycho-social de l’enfant. bien entendu, ces deux « mamans », dans leur grande sagesse, n’ont jamais, ni de près ni de loin, consciemment ou inconsciemment, influencé le gamin. beaucoup de lesbiennes ont une aversion pour le pénis, mais ça n’a aucun rapport avec la destructuration mentale que cet enfant est en train de subir, qui se manifeste par une aversion pour son propre corps équipé d’un pénis. ce qui me gène le plus dans ce genre d’histoire, c’est que l’orientation sexuelle de certaines personnes finisse par devenir la seule référence, et qu’ensuite on s’en serve pour justifier les situations les plus aberrantes. ouvrez les yeux.