combien de drames enfouis réveillés par cette affaire DSK ? Un jour de 1956, un patron a violé sa bonne. C’était un bon bourgeois, un homme « très bien », paraît-il. La bonne, c’était ma mère. Sachez que rien n’a changé, quand je lis les réactions des copains de DSK, je ne suis pas étonnée. Une bonniche, ça pèse combien au regard d’une position sociale, d’une carrière, d’une réputation ? Rien. Alors, une fois n’est pas coutume, si DSK est coupable, je remercierai à jamais les USA, et je n’aurai qu’un regret : que ma mère n’ait pas pu voir ça.
merci du tuyau j’ai désactivé illico les 2 options (internet + et minitel)... pour info, la modification n’est pas prise en compte avant quelques minutes