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Je suis enseignant, sans prétention journalistique. J’espère cependant que ce site participera à réformer un univers médiatique qui se complaît à décrire un monde traumatisant et inintelligible.

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Premier article le 03/02/2006

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La mythologie citoyenne

A mesure que la classe politique et les médias traditionnels d’information sont de plus en plus discrédités, le citoyen, par un étrange phénomène de vase communicant, devient un être merveilleux, paré des plus beaux atouts. Ce nouveau mythe, légitime enfant d’une (...)

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Agora Vox Populi ?

AgoraVox, le « journal citoyen » présente de louables intentions. Cependant, à y voir de plus près, on peut légitimement se demander s’il n’a pas les mêmes défauts que la presse généraliste, les qualités en moins. LE CONSTAT Dans un premier temps, il suffit de (...)

30260 visites 22 fév. 2006 | 114 réactions | didier + Partager

Volte-face médiatiques et absence d’autocritique de la presse

Les modes journalistiques ou l’art de l’inconstance

3992 visites 3 fév. 2006 | 4 réactions | didier + Partager

Derniers commentaires

> Quatre jeunes romanciers écrivent la vie

didier 20 février 2006 18:17

Madame

Vous écrivez sur une génération d’auteurs trentenaires, nécessairement narcissiques, qui ne peuvent guère écrire que sur eux - mêmes. Une vie centrée sur leurs désirs, leurs émotions, leurs attentes, leurs plaisirs, leurs nombrils... Un peu comme l’affligeant dernier prix Goncourt, « Trois jours avec ma mère. » Mais pour passer de leur « petite vie » à l’universel, il faut un immense talent qui leur fait défault. Chantres de l’immature, de l’inanité et du vide, enrobés d’une épaisse couche de vanité, ils collent à leur époque comme une moule à son rocher.

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> Quatre jeunes romanciers écrivent la vie

didier 20 février 2006 18:13

Madame

Vous écrivez sur une génération d’auteurs trentenaires, nécessairement narcissiques, qui ne peuvent guère écrire que sur eux - mêmes. Une vie centrée sur leurs désirs, leurs émotions, leurs attentes, leurs plaisirs, leurs nombrils... Un peu comme l’affligeant dernier prix Goncourt, « Trois jours avec ma mère. » Mais pour passer de leur « petite vie » à l’universel, il faut un immense talent qui leur fait défault. Chantre de l’immature, de l’inanité et du vide, enrobé d’une épaisse couche de vanité, ils collent à leur époque comme une moule à son rocher.

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