Exemple vécu de l’application de la déontologie avocatesque au divorce : Je souhaite changer d’avocat qui ne fait rien, ne vient pas au audiences et me réclame néanmoins des honoraires délirants sans répondre à mes demandes de justificatifs. Mon nouvel avocat ne peut reprendre le dossier avant que j’ai réglé son confrère. Motif : sa déontologie. Résultat : deux fois 2.500 euros d’avocats et 4 ans d’attente pour un divorce par constentement mutuel.