Ce qui implique aussi de lire Nietzsche, bien entendu, et précisément la préface au « Gai Savoir », qui sert de justification théorique à notre prof de philo : "... on aura de la peine à nous retrouver sur les traces de ces jeunes Égyptiensqui
la nuit rendent les temples peu sûrs, qui embrassent les statues et
veulent absolument dévoiler, découvrir, mettre en pleine lumière ce qui,
pour de bonnes raisons, est tenu caché. Non, nous ne trouvons plus de
plaisir à cette chose de mauvais goût, la volonté de vérité, de la
« vérité à tout prix », cette folie de jeune homme dans l’amour de la
vérité : nous avons trop d’expérience pour cela, nous sommes trop
sérieux, trop gais, trop éprouvés par le feu, trop profonds…" F.Nietzsche Voir aussi : http://www.lepost.fr/article/2010/08/04/2174683_si-onfray-avait-lu-nietzsche.html
20 ans pour une « prise de conscience », pour un soit-disant « nietzschéen » (soit un pratiquant de la critique radicale), ça fait un peu longuet, non ?