Je trouve curieux que vous parliez du progessisme de Rocard comme d’une maladie honteuse. Etes-vous sûr d’aller bien ? Car l’horizon indépassable pour toute société ayant compris quelque chose me semble être l’idée de progrès.
Il est particulièrement étrange que dans toute ces énumérations vous n’ayez pas mentionné les compétances que d’aucuns s’accordent à reconnaître à DSK. Sans doute cela ne doit pas compter à vos yeux. Il vaut certainement mieux pour les besoins de cette grande argumentation lui reprocher d’être « riche » parce que dans ce cas dites vous, on est trop loin des problèmes des petites gens. C’est du grand art, ça. Digne du café PMU de mon quartier. On en sert des moins corsés. Je n’ai pas vu de grandes révolutions impulsées par des metallos ou des ouvriers de chez Renault ou d’ailleurs. Toutes conditions d’ailleurs fort respectables. DSK « dangereux pour la liberté d’expression ». D’ailleurs il a dû le démontrer quand il était ministre, c’est nous qui l’avons oublié. On est con, quand même, non ? Comment peut-on concentrer autant d’idioties en une seule page ? A titre personnel, je ne serai pas pour que DSK soit désigné comme candidat des socialistes, pour la raison que selon moi une large frange des électeurs de la gauche de la gauche préfererait à tort ou à raison se réfugier dans l’abstention plutôt que de voter pour lui. C’est plus prosaïque et moins argumenté, mais dans le même temps, j’évite les insuportables procès d’intention. C’est ça, quand on n’a pas étudié les lettres classiques, l’histoire et les sciences politiques, on est moins, comment dire ?...au courant. Président d’une association de défense des droits de la personne, que ne commencez-vous par respecter les personnes, justement ? Même s’il ne me vient pas à l’idée de nier votre droit d’écrire ce que vous voulez dans votre tribune, j’ai toujours un irreprécible tressaillement à la lecture de ce genre de gugusserie.
Lefebvre, un tel concentré d’âneries en si peu de place, il faut être de la graine de champion pour y parvenir, et vous y ètes parvenu. Ca mérite un triple hourras. C’est à croire que tous les débiles non-blancs et possedant un peu de notoriété vous obcèdent. J’ai beau chercher, je ne vois pas l’intéret de se pencher sur les déclarations d’Anelka ou de l’autre dont j’ai déjà oublier le nom. Seulement ça donne à tous les gugus en mal de reconnaissance l’ocasion de prendre la plume. Et quelle plume. « Une analyse digne d’un grand sociologue ». dites-vous, pour moquer les arguments de l’un. Je n’ai pas perçu la profondeur des votres, je compte me faire aider d’ici le W.E. Plus loin, vous indiquez que les méfaits de ces dangereux déviationnistes rencontrent « l’aquiescement et le consentement général. Comment peut-on raconter de telles conneries. Vous avez fait des enquêtes la dessus, ou est-ce simplement que vous n’avez rien à dire. C’est du sous-Zemmour tout ceci. Avec la culture en moins. Vous semblez déplorer que les albums des uns sont en ventes en »accès libre". Ca pue la trouille au ventre, cette espèce de logorrhée insane que vous nous servez là, avec ces sous-arguments de café PMU. Personne n’a besoin de vous pour être convaincu qu’Anelka est un âne, alors arretez de vouloir nous l’expliquer en ayant l’air d’écrire une thèse, car ça n’en est pas une, c’est même un peu nul
Bel exercice d’enfonçage de portes ouvertes. On est là à des hauteurs strotosphériques. Il n’est pas nécessaire d’être blogueur pour comprendre l’usage des titres d’accroche, qui est devenu une pratique fort répendue, et d’ailleurs, votre titre ne fait pas exception à la règle. Si je peux me permettre, aucun des journalistes présents lors de ce « off » n’est cité dans l’affaire à l’origine de ce grand numéro d’enfumage du président. Alors, « dérapage » des journalistes parce que le propos de Sarkozy n’est pas assez explicité ? Il n’est que d’écouter la bande son, à moins que vous nous informiez de son invalidité, pour se rendre compte que l’analogie utilisée par Sarko est tout simplement déplacée voire inacceptable. Quand le sage montre la lune....,dit un fameux proverbe chinois. Vous avez cru devoir vous polariser sur les titres utilisés pour dénoncer ces tristes accrobaties rhétoriques du président afin éviter de répondre sur le fond aux questions. Après tout, il pouvait se contenter de prédire que l’affaire ferait « pschittt » ou que tout ça était « grotesque », on aurait été dans du déja entendu, et ça n’aurait désorienté personne. De là que votre herméneutique de la geste sarkosienne pour élaborée qu’elle puisse être, ne peut qu’échouer à nous convaincre. Car, ce qu’il nous faut au bout du compte, c’est moins d’avoir des organes de presse qui sachent titrer, que de savoir que le président de la république française ne passe pas son temps à péter les plombs et à se conduire comme un vulgaire petit sauteur de banlieue.