Lorsque le 2 avril j’ai lu sur Cahuzac, j’ai cru à un poisson
d’avril de la veille. Pas plus que je ne puis croire qu’il y a des
pédérastes et plus encore des pédophiles parmi les prêtres ou bien des
voyous dans la police, je ne puis imaginer qu’il y ait des menteurs chez les
hommes politiques, surtout investis par un parti politique. Et que celui qui
est en cause soit justement du parti de la morale et de la haine des riches
soit de plus un fraudeur, ça me laisse pantois. (tiens, pends-toi, c’est ce
qu’on pourrait conseiller au Dr Cahuzac, se suicider comme son confrère
de l’émission de TF1 qui n’avait probablement rien à se reprocher)
Ce
n’est pas d’aujourd’hui que mentent les politiques, même
« Les yeux dans les
yeux »
1988.
Le débat télévisé précédent le second tour de l’élection présidentielle donne
lieu à un échange tendu entre Jacques Chirac et François Mitterrand.« Est-ce
que vous pouvez me dire, M. Mitterrand, en
me regardant dans les yeux, que je vous ai dit que nous avions les
preuves que Gordji était coupable de complicité ou d’action dans les actes
précédents, pouvez-vous contester cette version ? » « Dans les yeux,
je la conteste »...
Chirac en est resté sur le cul - Il avait trouvé plus menteur que
lui !!!
Ce
n’est pas d’aujourd’hui que mentent les politiques, même « Les yeux dans les
yeux »
1988.
Le débat télévisé précédent le second tour de l’élection présidentielle donne
lieu à un échange tendu entre Jacques Chirac et François Mitterrand.« Est-ce
que vous pouvez me dire, M. Mitterrand, en
me regardant dans les yeux, que je vous ai dit que nous avions les
preuves que Gordji était coupable de complicité ou d’action dans les actes
précédents, pouvez-vous contester cette version ? » « Dans les yeux,
je le conteste »...
Chirac en est resté sur le cul - Il avait trouvé plus menteur que
lui !!!