Il est aussi très douteux éthiquement d’exiger que les aborigènes, par exemples, papous ou autres sociétés traditionnellement intégrées dans leur biotope naturel, souvent fort carnassières se passent de produits animaux. Il s’agit là d’un nouveau type de racisme : de nouveau, l’homme blanc donneur de leçons s’immisce dans un équilibre socialcomplexe qu’il ne comprend pas (heureusement qu’il existe l’ethnographie pour essayer de remédier à cela) et exige des différentes ethnies des comportements qu’il ne leur correspond pas, qui plus est, peuvent les mettre en danger.
Enfin, cet aspect assez critiqué du véganisme
vaut la peine d’être cité :
Le label vegan est un concept marketing inventé par l’agro-industrie pour :
- Diviser (mieux régner)
- Vendre des quantités astronomiques de soja (et autres produits : nouveau business, nouveau label, comme ont été le « light », le « diet » etc.)
- Justifier par l’absurde la présence de monocultures intensives comme moyen principal de développement agronomique
-DÉMOBILISERles activistes qui pourraient sans cela luter contre l’agro-business au lieux de perdre leur temp...
Il y a un aspect dans le véganisme qu’on oublie souvent, mais il faudrait bien réveiller les consciences, car le phénomène prend de l’ampleur : l’aspect criminel.
En effet, quand on se rend compte que d’un point de vue purement scientifique, le véganisme est dangereux, il s’agit de mise en danger d’autrui par falsification idéologique.
Le plus pernicieux dans ces théories véganes, c’est l’inégalité de tous les êtres humains face à ce régime alimentaire. En effet, certains SONT GÉNÉTIQUEMENT CAPABLE d’être véganes et d’autres non ! Les gens qui sont capables d’être véganes et qui n’ont aucun problème de santé se convertissent donc en CRIMINELS quand ils font l’apologie d’un diète qui peut parfois être fatale pour son adepte qui parfois, dans les familles les plus ferventes sont des enfants. Cela aggrave encore le crime.
Mise à part les rares personnes qui peuvent se contenter d’un régime vegan sans carence, il y a des gens qui convertissent mal les caroténoïde en vitamine A, à cause d’une déficience de l’activité de la BCMO1. D’autres, déficients en vitamine K2 peuvent rencontrer des difficultés pour trouver les bactéries qui les synthétisent. D’autres personnes encore, peuvent ne pas avoir de bon niveau d’amylase dans la salive, ce qui crée un problème s’il changent leur alimentation et d’un coup consomment plus d’hydrates de carbone, (ce qui arrive toujours avec un régime vegan)… Tout le monde n’est pas pareil face au besoin en choline et la variation de l’activité de l’enzyme phosphatidylethanolamine-N-methyltransferase, ce qui les empêche d’être ainsi satisfait avec un régime vegan... NOTAMMENT LES FEMMES APRÈS LA MÉNOPAUSE ET LES ENFANTS.
La carence en choline peut également augmenter le risque de problèmes neurologiques, cardiaques et entraîner des problèmes de développement chez les enfants.
Toutes les carences citées au dessus sont résolues par la consommation de produits animaux. La prédisposition génétique est donc fondamentale, les véganes ont souvent de graves carences sans le savoir, ou sans “oser le savoir”.
Un autre aspect, en effet, l’aspect pathologique est primordial pour comprendre ce courant de pensée qui s’apparente bien sûr à une religion.
Le véganisme est également un délire du miroir éthico-religieux. Il se résume en fait à maquiller la peur de la mort en pseudo-empathie exacerbée envers « tout qui pourrait me ressembler le plus possible et mourrir injustement pour me nourrir ».La décomposition de la viande dans l’estomac du vegan représente la décomposition de son propre corps dans le sol.
Pour compléter cette assertion : rendez-vous compte que la liturgie byzantine est entièrement acceptée et pratiquée par les catholiques romains uniates. Les adeptes de la tradition tridentine ont toujours accepté la tradition byzantine, simplement ils ont voulu faire autrement.