Dans ma lointaine jeunesse, j’ai connu les étudiants d’ordre nouveau et autres droitistes extrêmes qui se cachaient sous la bannière du Travail, Famille, Patrie.
Certains que je rencontre parfois sont devenus de bons pères de famille qui ne donnent rien au mendiant à la sortie de l’ église et licencient leurs salariés pour pouvoir remplir le réservoir de leurs deux Mercedes.
Leurs enfants sont désormais à l’université pour y étudier sans problème financier.
Leur crise de jeunesse passée, ils prendront la place de papa ou trouveront un bon emploi grâce à ses connaissances.
Mais avant, ils feront semblant de faire du syndicalisme alors qu’il ne s’agit que d’un défoulement d’instincts de survie d’une catégorie sociale cherchant à conserver ses privilèges.
Le syndicalisme, c’est pour tous, pas pour une élite et le savoir n’est pas génétique.
Le réchauffement est bien là. L’augmentation du CO² aussi. Tenter de faire croire le contraire relève de la mauvaise foi. On peut, à partir de moults graphiques, courbes et indices prouver n’importe quoi et jouer son petit sophiste de service. Malheureusement pour nous tous, les vrais scientifiques (sérieux et innombrables) ont conjointement établi l’état d’avancement des dégâts depuis longtemps et le débat n’est plus à la remise en cause de leurs conclusions. Les documentations à ce sujet sont suffisamment copieuses pour ne pas y revenir et en les remettant en cause, on se trompe de cible, de questions et de raisonnement. Mais surtout on élude les solutions. En plus, c’est dire que Kyoto et Copenhage ne seraient que des leurres destinés à détourner nos attentions. De quoi d’ailleurs, la crise économique ? une guerre à l’état larvaire ? l’installation d’un gouvernement totalitaire mondial ? un complot des industries pour nous vendre des produits éco-durables et entretenir ainsi le capitalisme ?? Soyons sérieux. Au lieu de perdre du temps à s’interroger sur ce qui est visible tous les jours, c’est-à-dire l’empreinte négative de nos activités sur l’environnement (CO² inclus) nous devrions nous demander comment réduire (s’il n’est pas trop tard) ou au minimum stopper à leurs niveaux actuels nos altérations de la nature.
Je trouve cet article dangereux, qui cache sous un grossier déguisement scientifique, des propos idéologiques identiques à certaines théories créationnistes refusant la science en utilisant ses raisonnements pour mieux la phagocyter. Que cherche le rédacteur à nous prouver ou à se prouver à lui-même ?? Ouvrir les yeux et le coeur suffit .
Magnifique démonstration, très bien étayée, remarquable et époustouflante de vérités. Si notre démystificateur de service a un intérêt financier quelconque à écrire (très bien) de telles niaiseries, alors on peut comprendre facilement.
Si sa pensée est gratuite, une consultation auprès de spécialistes du mental s’impose d’elle-même parce que quelque chose a fondu ou trop chauffé quelque part.
C’est sans méchanceté, avec le but de rendre service : la santé avant tout.
Ce qui est écrit est écrit. Même s’il devait s’agir d’un roman il n’en reste pas moins que c’est de l’incitation à la débauche et à l’usage de corps d’enfants ou d’adolescent, ce qui est déjà une honte. Sil ne s’agit pas d’un roman mais de récit de choses vécues, alors là c’est gravissime et une démission devrait déjà être déposée sur le bureau du président. C’est une question morale qu’il appartient à M. Mitterand de méditer rapidement.
Ce qui est incroyable c’est quand même d’en arriver à qualifier de courageuse une journaliste qui fait bien son travail. Nous devons être tombés bien bas dans l’information télévisée et dans la presse (vendue) pour qu’ une journaliste se voie reprocher de faire son métier objectivement. Les syndicats de police feraient bien de ne pas mélanger élections professionnelles avec déontologie. C’est à ce prix que la police est respectée comme celà doit être ou pas comme celà devient.