@Fergus, effectivement la plaque de Concarneau est très bien placée (Hélas celle de Saint-Paul ne peut être vue que par les quelques scientifiques descendant sur l’île) et même si le résumé est relativement court, il nous est arrivé de rencontrer des personnes qui étaient passé la veille, et par faute d’éléments suffisamment étoffés étaient rentrés chez eux faire des recherches sur internet (voilà aussi pourquoi vous avez apporté votre pierre à l’édifice ;) ) , avant de revenir le lendemain pour expliquer à leur fille pourquoi il y avait une croix devant certains noms (les gardiens et le bébé étant décédés sur Saint-Paul) .Pour vous remercier ,si vous le souhaitez nous vous proposons de vous faire parvenir une carte postale (nous en expédions tous les ans à nos adhérents) qui voyagera sur le Marion Dufresne, qui sera tamponnée à bord et oblitérée à Saint-Paul Amsterdam, pour cela il nous faudra votre nom et adresse postale .. Je vous propose de nous laisser tout cela sur la messagerie de l’association : [email protected] .. Bien à vous.
@Fergus, Exactement et n’oublions pas que cette tragédie s’est déroulée en 1930 en pleine crise économique, en tous les cas, merci pour ce récit très bien construit, je me permet juste de rectifier le fait que Henri Fargon et Marcel Gibon ont été des noms que l’auteur Daniel Floch a imaginé (lorsqu’il a écrit son livre dans les années 80) pour remplacer les vrais noms du directeur délégué Alfred Caillé et contremaître Pierre Presse. Merci encore !! Dominique Virlouvet et Maryvonne Tatéossian...
Bel article concernant le drame dit« Des Kerguélen »où des « oubliés de l’île Saint-Paul ».Cependant,je me permet de rectifier deux points :
Le premier concerne les survivants ayant décidé de rester sur l’île.Louis Herlédan rentra avec la relève,quand à Louise Brunou et Julien Le Huludut,eux ,décidèrent de rester...(il faut également savoir que ces rescapés étaient atteints du scorbut à un stade bien heureusement pas assez avancé pour entraîner la mort,mais en rentrant en France,ils eurent besoin de soins).
Quand aux Bretons survivants ,le procès leur attribua diverses indemnités (dérisoires en comparaison du préjudice moral et physique subit),qu’ils ne touchèrent jamais...
Je voulais remercier l’auteur de cet article,car c’est une très belle façon de parler et de rappeler au souvenir la tragédie de ces sept gardiens de Saint-Paul qui furent oubliés,et d’honorer la résistance de notre petite Concarnoise Louise.....