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Dominique LIN

Dominique LIN

Né à Paris, je vis en Vaucluse depuis plus de 30 ans. Mais comme ils disent ici, si tu n’es pas allé à la communale, tu n’es pas d’ici… je resterai donc un étranger.
 
Si beaucoup de Provençaux ont « émigré » à Paris pour des raisons professionnelles, j’ai fait le chemin inverse par choix de vie.
 
En dehors du travail, je consacre mon temps à ma famille, la musique afro-cubaine et surtout à l’écriture. J’ai écrit deux romans, parus chez Elan Sud, Toca Léòn ! et La grande Borie. D’autres romans sont en cours.
 
Je suis secrétaire de 2 associations :
• Expressions Littéraires Universelles : promotion et animation autour de la littérature
Une des actions d’ELU est le prix Première Chance à l’Écriture, concours de manuscrits avec un contrat d’édition en bonne et due forme à la clé !
 
• Editer en Vaucluse (association des éditeurs du Vaucluse) : soutien à la profession, mise en commun des actions, fédération des énergies.
 
Pour le reste, je fais comme tout le monde, je vis en essayant de garder les yeux ouverts sur un monde qui change très vite et dont les valeurs fluctuent dans tous les sens
 

Tableau de bord

  • Premier article le 12/03/2008
  • Modérateur depuis le 22/04/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Dominique LIN Dominique LIN 16 juillet 2008 18:47

    Je ne voudrais pas revenir sur les rassemblements "d’auto-édités", alignés dans une salle des fêtes, les mêmes chaque année... ce n’est pas mieux

    Pourtant, il est toujours possible de bien faire.

    J’ai participé à l’organisation d’un salon de l’édition indépendante à SainteCécile-les-vignes (84) Lire entre les vignes, pour une première, il y avait plus de monde, des lectures, des animations, des lecteurs, ... des ventes !
    Les éditeurs étaient accueillis, nourris, abreuvés (pas qu’avec de l’eau...)
    Chacun son projet, je l’admets, mais, vous le dites, on n’aligne pas des palettes de yaourts sur un trottoir. Un auteur passe des heures à façonner son texte pour partager une émotion, des sentiments, du rêve au lecteur.
    De là à le mettre à l’écurie, il ne faudrait pas exagérer.
    Le pire, c’est que de nombreuses communes via leur conseiller à la culture, sont encore en train de vouloir en organiser !



  • Dominique LIN Dominique LIN 16 juillet 2008 18:37

    Je fais partie de ceux qui prennent la radio pour un canal culturel (la télé, ça fait longtemps que j’ai abandonné tout espoir) et j’aurais aimé ne pas être aussi "riche" en détails...
    Quand j’écoutais Blanc Franquard à 20h10 sur France Inter, c’était un vrai RV (c’était aux alentours des années 75...). Les vinyls import, les introuvables, ... quel pied ! Il bossait avec Jacques Pradel, c’était bien avant sa période "perdu de vue".
    A croire que les radios comme les télés s’amusent à créer de bonnes émissions pour mieux les arrêter !
    Dans le même esprit, même si c’est privé, Europe 2 racheté par Virgin... déjà que je n’écoutais pas, mais maintenant... bon apétit !



  • Dominique LIN Dominique LIN 16 juillet 2008 17:11

    Quel intérêt d’écrire un non-article ?
    Dire que des gens se sont réunis est une chose, décrire et commenter ce qui s’est passé et dit en est une autre...



  • Dominique LIN Dominique LIN 16 juillet 2008 17:04

    Dans la famille "contenu vidé de sa substance", je demande France Bleu...
    En Vaucluse, plusieurs émissions à réel contenu, c’est à dire structurées, préparées, commentées, illustrées, ... et je ne pense pas que nous ayions cette éxclusivité !

    Nous avions blues session, un régal le samedi à 18h avec des morceaux sortis d’on ne sait où, un historique, une ambiance, bref, que du bon.
    Nous avions aussi Jean-Pierre Belmond qui nous parlait du pays, pas avec les people, mais avec les vieux des villes et des campagnes, ceux qui avaient encore quelque chose à dire sans avoir quelque chose à vendre.
    D’autres émissions sont parties avec.
    Vidé, rincé, karchérisé !
    Les journalistes se contentent de lire les offres d’emploi, appellent leurs "correspondants météo" pour savoir s’il fait beau chez eux et posent des questions stupides pour faire gagner un produit "culturel" manufacturé.

    Manifestations, site, pétitions, ... tout le taintoiuin a été mis en place, mais que nenni, nous ne serons pas écoutés ( Voir le site : http://radionostro.free.fr/ pour signer la pétition)
    Lors de la disparition de l’émission "arrêt sur image sur la 5, une vague de protestation avait envahit le net et certains médias... que dalle, ça n’a servi à rien.
    Alors, il est bon, salutaire, indispensable de faire savoir notre aversion pour le tout mercantile, mais gare à celui qui a l’espoir car il sera déçu, malheureusement.

    voir l’article sur France bleu

    Dominique



  • Dominique LIN Dominique LIN 27 juin 2008 19:59

    Pour répondre en vrac, plusieurs points :

    Si vous avez du croustillant sur les conseillers indépendants, allez-y, c’est ouvert

    Concernant les gens qui peuvent avoir accès à ces services, ils ne sont pas tous "riches" au sens où vous l’entendez.
    Les lois fiscales s’adressent à des contribuables à partir de 2000€, et je n’ai pas oublié un "0". Ça fait du monde… et je ne les vois pas si bien servis que ça

    Si vous relisez la fin de l’article, j’ai mis en cause le système, pas les hommes. Pas de procès d’intention SVP

    Où avez-vous lu : incompétences ?
    Par contre, faites un tour d’horizon de la rentabilité des PEA en actions, vous serez surpris, et ce n’est qu’un exemple.

    Côté responsabilité, sachez que nous sommes responsables de nos conseils. Que nous suivons nos investisseurs jusqu’aux démarches de déclarations, revente des biens, arbitrages des UC,... oui, j’en réponds. Je n’ai pas un portefeuille de plusieurs centaines de clients à qui servir des centaines de produits totalement différents. Ils rentrent tous dans une seule logique de création, revalorisation, protection de patrimoine mobilier et immobilier. Je n’ai pas de quotas, de réunion du lundi, ni de hiérarchie à satisfaire pour gagner des points.

    Mais vous me poussez à parler de moi, ce n’était pas le but recherché, vous allez me le reprocher.

    Pour le GEAB 2020, oui, c’est un scénario de grand plongeon économique mondial que certains entretiennent.
    Nous pouvons compter sur les grands comptes mondiaux, trop proches deurs capitaux pour ne pas agir contre. Certes, les petits porteurs vont encore trinquer, surtout ceux qui ne sont pas suivi de près. C’est toujours dans le même sens. Lorsque la bourse s’est ouverte aux particuliers, combien se sont fait rincer ? une majorité. Qui en a profité... les mêmes.
    Le service de proximité dans tous les sens du terme sont à privilégier. Mais de toutes façons, si le système doit s’écrouler parce que tout le monde aura trop tiré dessus (à l’exemple du baril, le change $/€) ça tombera. A ce moment, personne ne pourra rien faire.

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