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Dortiguier

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  • Premier article le 20/11/2010
  • Modérateur depuis le 28/01/2011
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Derniers commentaires



  • Dortiguier 19 janvier 2011 21:00

    Je remercie tous les citoyens qui ont trouvé dans cet article un motif de s’éclairer mutuellement. Je propose de distinguer entre mythologie naturelle, poétique, présente comme telle chez tous les peuples, des Maoris aux Suédois ; ces peuples parlent souvent de leurs ancêtres lointains descendus comme Adam sur terre, par une chute imaginable, beaux et généreux. Chacun sait que la mythologie grecque et latine, romaine subsistera toujours parce qu’elle repose
    sur des récits poétiques développés par la connaissance astrologique.
    Elle ne s’effondre pas, mais renaît avec l’innocence de chacun, avec
    l’adolescence. De même que le conte de Blanche Neige (personnage qui désigne la matière purifiée) et des Sept Nains (Joyeux/soleil,Dormeur/Lune,Simplet/Mercure,Timide/Vénus,Atchoum/Mars,Prof/Jupiter,Grincheux/Saturne)
    fait appel au Zodiaque. Les gnomes creusent le sol et symbolisent un
    travail spirituel. La pomme rouge a aussi une signification, dans ce conte des frères Grimm tiré de la mythologie allemande.

    Mais dans le cas qui nous occupe, cette mythologie s’écroule justement parce qu’elle n’est pas une vraie mythologie, mais une mythologie déguisée en histoire, qui se veut positive. Cela vient-il d’une déficience dans la foi, d’une superficialité trop grande qui aurait empêché, selon le philosophe et mathématicien allemand Leibniz au 17ème siècle, le prophète nommé Moïse de faire admettre par sa troupe l’immortalité de l’âme. Faute d’esprit, et sans foi purifiée, le corps délire, s’appesantit et s’abêtit. Cet article n’est pas un désaveu de la religion en soi, mais énonce des faits illusoires qui, contredits par la recherche, mettent en, danger toute religion, discréditent la vraie foi qui est spirituelle. Il faut une religion sérieuse, et le Christ et Mahomet et Bouddha sont fort différents, mais admettaient l’immortalité de l’âme et donc répugnaient à se prendre pour des artistes sur une scène de théâtre, pour des illusionnistes.

    J’ai en effet cité l’article de M. Heribert Illig, tiré de sa revue publiée en 2010, qui est un disciple modéré du professeur russe Anatoli Fomenko, avec les références allemandes. Nous possédons la liberté de publier une opinion sur l’écroulement d’une fausse histoire. Et un Voltaire, s’il ressuscitait, nous donnerait un sentiment proche de ces réflexions, dont vous trouvez l’amorce dans son oeuvre de critique historique. Que signifie d’autre ce Siècle des Lumières que l’on vante ? Chaque siècle a son esprit, le nôtre est celui de l’étude, surtout au pays de la Merkel : on peut s’y tromper, comme partout, mais on y travaille, au lieu d’échanger des injures ou des cartes à jouer, on y échange des idées et c’est ainsi que l’on dépasse des prévisions économiques. Et c’est bon pour nous, Grecs ou pas !



  • Dortiguier 28 novembre 2010 19:00

    Le Cardinal Lavigerie accuse, vous l’avez bien relevé, l’Islam de favoriser
    l’esclavage. Et il récuse la défense de l’Islam par le contantinopolitain orthodoxe
    grec, diplomate de l’Empire ottoman : nous sommes là en pleine polémique
    religieuse, marquée par une islamophobie analogue à celle d’aujourd’hui .

    Le seul moyen de l’arrêter serait de réunir un comité qui examinerait
    les livres sacrés du monothéisme et trancherait sur lequel des trois rites
    favorise, par sa doctrine, formellement, diplomatiquement, si vous 
    préférez, l’esclavage, la servitude des infidèles. Je ne crois pas que
    cela soit possible. Ce serait un produit explosif, et nous revenons donc par là
    à la « chimie mentale » !



  • Dortiguier 28 novembre 2010 18:39

    Rectificatif : « l’Histoire de Charles XII, roi de Suède » de Voltaire, et non de Charles VII.



  • Dortiguier 28 novembre 2010 18:37

    Rectificatif : l’Histoire de Charles XII, roi de Suède" de Voltaire et non de Charles VII



  • Dortiguier 28 novembre 2010 12:06

    J’ai dans cet article défendu sur un exemple l’opinion bien connue de Valéry qu’il y a une « chimie mentale », une synthèse artificielle qui met en doute la validité absolue des jugements en histoire. Ceci est une opinion que j’estime fondée, évidemment mon opinion est subjective, mais je pense que cette subjectivité, en d’autres termes cette relation à un univers personnel est le propre de l’historien. Et qu’il ne peut pas, qu’il n’a aucun moyen de l’imposer à autrui, comme un scientifique impose à autrui les conséquences d ’une hypothèse, la ncessité d’une démonstration.
    J’ai pris l’exemple de l’esclavage, dans non pas une synthèse historique (qui est un art d’enseigner), mais une analyse, qui est celui de découvrir. Le lecteur de ma contribution,
    tout comme moi-même, pénètre, c’est du moins mon vœu, dans un univers subjectif, celui du colonisateur ; c’est pourquoi j’ai évoqué ce sermon bruxellous de Lavigerie, car c’est celui qu’ont entendu les Bruxellois, celui que lisent les lecteurs catholiques d’une œuvre dont j’ai cité la source.
    Comment est-il possible d’écrire une œuvre objective de la colonisation ? Je n’y crois
    guère.Allons plus loin, est-il possible de porter un jugement historique, en disant : voilà ce qu’enseigne l’histoire ?
    Je signale que la méthode est relative à l’objet.
    Dans la réponse, je relève deux erreurs : quand je dis que Voltaire est le premier historien moderne, dand l’Histoire de Charles VII et Le Siècle de Louis XIV, c’est une idée générale que j’ai reçue de mes collègues qui sortaient de l’École des Chartes ; que je pourrais nommer.
    Je dis bien historien moderne, qui use de méthodes de recoupement etc.Mais pour moi
    la règle pemière est le motto : avez vous un texte ? Un document ?J’ai présenté un
    tel document, celui de Lavigerie.
    Quant à pierre Daye, il faut dire qu’il a laissé un bonne biographie de Brazza. Donc ses opinions ne sont pas à prendre en compte, sinon, c’est de la censure soviétique où l’on biffait régulièrement les noms des opposants.
    Quant à Fomenko, je persiste à penser que le traiter comme un enfant, pourrait se revéler être dangereux. Cf.ceux qui ont ainsi traité Jésus !!!!

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