DOTT.G.CIANCIMINO TORTORICI

AUSSI EN FRANCAIS

La vraie difficulté pour les Italiens c’est précisément la culture politique ouverte après la chute de la Première République,et c’est ce qu’on appelle le manichéisme:Un système politique bipolarista fait de côtés horizontale sans une volonté moralisatrice ne empreinte religieuse(Américains, Anglais)au dèpart n’est pas manichéisme,mais quand ensemble tout le système dans le centre et insister d’appels centre-gauche centre-droite devient colorè d’un timbre moraliste et parlant plus de valeurs morales que de système politique. Un système qui n’est vrai centre ne vrai bipolarité.Faire le diagnostic du mal peut être facile,mais après choice faire ?Vrai que ce système post-Berlusconi a essayé d’innover les frontières entre droite,gauche et centre, pour inaugurer une nouvelle culture politique, mais très confuse,très tiède,sans idées,sans savoir où le plomb,et sans oublier la bipolarité.Nous regard à l’étranger a la recherche d’une modèle ? Un bipartisan Américain ?• Un présidentialisme à l’Allemagne ? (Un chaos que impacts mal dans l’âme bipolaire de ce classe politique que voulais que deux plus deux etaient quatre et points,ce qui est impossible dans la vie politique).Ah une forte envie comme le présidentialisme français. Un bipartisan à l’Anglais entre les libéraux(laboirisme) et les conservateurs ? Elle fonctionne pour plus de 300 ans en Amérique du Sud, mais il n’est pas en harmonie avec l’italien primauté parlamentarista.(1)Mais un pays avec la tradition culturelle(aussi culture politique )de l’Italie,il y a besoin de regarder à l’extérieur ? Et on peut dire haut et fort de la classe politique qui ne veut savoir pas de quitter le manichéisme:plutôt que de la maturité et l’équilibre voit tentations de la premiere République dans les proportionneller.Pour dire le vrai le rêve post-premier République de la classe politique de "centre-ensemble » ressemble un élitisme démocratique du côté Espagnol, synthèse entre l’élitisme du dome et bipolarité démocratique.Mais en Italie,ce n’est qu’un rêve.Un rêve,Un rêve, mais certains ne démissionneraient pas : dans une belle pièce avec une certaine interrègne,nous souffrir l’alternance Berlusconi-Prodi,et maintenant en période de « crise » nous parlons d’une synthèse parfaite appelé Gianni Letta.Non plus l’alternance mais la "sainte trinité",deux,trois dans une.Letta est un gris personnage du palais,de ceux qui agissent dans le noir,dont "bambaline" ;après avoir été secrétaire du gouvernement Berlusconi a continué à être sur le gouvernement Prodi,et il est proposé d’administrer le « saint esprit » de réformes et de vote jusqu’aux prochaines élections.Et pour terminer le rêve d’élitisme du dom bipolarist a sort Luca Cordero,un autre personnage sombre que de rien,entre coqs et demi nuits occupé Fiat et Confindustria et devenir le paradigme de l’esprit d’entreprise all’Italien (corporatisme spéculative des riches au lieu de l’ancien capitaliste industrieuse), qui maintenant proposer un parlementaire mono-chamber.Très bronzé-nous:Roi-Letta Premier ministre et le mono-chambre fonctionnelle sur le parlement.Ceci oui que est "largement entendu","monobloc entendu" je dire,tant ensemble et compact est.

(1)Certainement Amérique du Sud ne pue être pas un exemple pour personne,mais nous pensons : Ameriquenistes - Attlantistes sommes nous. Qui dit non ?

Il vero guai degli Italiani sta precisamente nella cultura politica inaugurata dopo la caduta della prima Repubblica,e questo guai si chiama manicheismo:Un sistema politico bipolarista fatto da due schieramenti trensversali,orizontali senza una impronta religiosa ne moralistica(Americano,Inglese ad ess)non sono in partenza manicheismo ; ma quando agglutiniamo tuto il sistema nel centro ed acceniamo ostinatamante a chiamarlo centrodestra e centrosinistra lo coloriamo di una impronta moralistica che parla piu di valori morali che di sistema politico.Un sistema che non è ne vero centro ne vero bipolarismo.
Fare il diagnostico del "male prima repubblica" puo risultare facile,ma che fare dopo ?E certo che questo sistema post-Berlusconi ha tentato di innovare i confini fra destra,sinistra e centro,di inaugurare una nuova cultura politica ma molto confusamente,molto tiepidamente,senza idee,senza sapere dove aprodare,e senza dimenticare il bipolarismo.Si guarda all’estero,quale modello ?Un bipartitismo all’Americana ?Questa classe politica diciamolo pure,poco ne vuole sapere di Repubblicanismo(ne anche alla Neocon,paradossalmente).Un presidenzialismo alla Tedesca ?Un caos che impatta male nell’anima bipolarista di questa classe politica che vorrebe che due piu due fossero cuatro e punto.(cosa impossibile in politica)Ah che invidia,un presidenzialismo forte alla Francese !.E troppo per noi,non ci proviamo ne anche.Un bipartitismo all’Inglese fra liberali-lavoristi e conservatori ?Funziona da 300 anni in Sudamerica,ma non è in sintonia con il primato parlamentarista Italiano.Ma un paese con la tradizione culturale(e pure di cultura politica parlando) dell’Italia,punto di riferimento ovunque ha bisogno di andare a cercare fuori ?E puoi diciamolo chiaro e tondo questa classe politica non ne vuole sapere di abbandonare il manicheismo:piutosto che un equilibrio maturo vede diavolici tentazioni dietrologici da prima Repubblica nei proporzionalisti.A dire verita il sogno post-prima Repubblica di questa classe politica "centro-agluttinante"si assomiglia ad un ellitismo democratico alla Spagnola che faccia la sintesi fra ellitismo cupolare e bipolarismo democratico.Ma questo in Italia è solo un sogno.Un sogno pero a qui taluni non ci renunciano:e da un bel pezzo che con qualche tiepido interregno,soffriamo alternannze Berlusconi-Prodi,e adesso in tempi di "crisi"si parla di una sintesi perfetta chiamata Gianni Letta.Non piu alternanza ma "santissima trinita",due,tre in uno.Letta è uno griggio personaggio di palazzo di quelli che agiscono all’oscuro,fra "bambaline" che essendo stato segretario per tutto il governo Berlusconi ha continuato ad esserlo nel governo Prodi ed ora viene proposto per amministrare lo "spirito santo" delle riforme ed il voto,cio’è un incarrico fino alle prossime elezioni.E per completare il sogno cupolare dell’ellitismo bipolarista viene fuori Luca Cordero,un’altro scuro personaggio che dal nulla,fra galli e mezze notte ha "coppato" la Fiat e Confindustria diventando il paradigma dell’imprenditoria all’Italiana(corporativismo speculativo di ricchi al posto dei vecchi capitalisti industriosi),che ora ci propone un monocameralismo parlamentare.Bene conciati siamo:Re Letta primo ministro e monocameralismo funzionale al parlamento.Questo si che è "larga intesa","intesa monoblock" direi,tanto compatta e larga è.

Aujourd’hui Sarkozy a ètè en Banlieue et trouver le président de Colombie.Nous avon préoccupé par la sécurité en Sudamerica et d’autres lieux de conflit dans le monde:bien,que les problèmes de sécurité en France(et pas seulement)sont liés à l’immigration.Mais à la maison nous comme nous ne avons mise ? Fait bien de reconsidere,et nous espérons que cela reste ancore la fois bonne.

Un Italien prèoccupèqui(comme autant)fait le pendoleur avec SUDAMERICA.

Permettez-moi de terminer par deux mots extraits de la parole de Don Paolo Vitale,un prêtre protagoniste dil compte « Quarante-huit », qui fait partie du livre "Les oncles de Sicile" de Leonardo Sciascia. « Faire le Quarante-huit" signifie profiter de la confusion et fait allusion à des faits après la conquête de la Sicile pour partie des troupes de Garibaldi.Ces paroles ne reflètent pas mon opinion que Paolo Vitale et Sciascia ne sont pas saints de mon dévouement, mais décrire mieux le cadre de mon discours : « Qui pensez-vous est mieux entre ces "Galanthommes".A la maison ont deux qualité du pain:la semoule pour la famille et le crusque pour les apprentis.Traiter les chrétiens comme des chiens,mais les chrétiens qui travaillent les traitent pire que ce qu’ils étaient des chiens.Ed avoir le courage de parler comme parler : le renversement de la tyrannie, la liberté...".Sarkozy n’est Napoléon ou Garibaldi il est évident,et la Bruni mon connational de gauche n’est pas une des Bourbons(même si l’air noble des paparazzi l’ont trouvée), et rien centre avec l’unitè et la concorde mais il semble que la confusion post-électorale n’est pas quelque chose de nouveau et ne se produit pas seulement en Italie. !Pauvres électeurs !(Un fait accompli,prendre ou à laisser

Correctio d’erreur:Où il dit "nè" devrais dire "ne provient pas de France"