En fait, les Républicains sont devenus le grand parti des collectivités locales. Laurent Wauquiez est d’abord et avant tout un grand élu local. Xavier Bertrand se trompe lourdement en quittant sa formation. Il aurait pu participer activement à cette mutation. La gestion publique oblige les exécutifs locaux à se recentrer sur l’intérêt général. Valérie Pécresse l’a bien compris en créant son mouvement Libres ! tout en restant inscrit dans l’appareil militant, dont l’élu nordiste se coupe irrémédiablement. Je ne suis pas sûr qu’il puisse se construire un destin national en 2022.
Sous des abords impitoyables, la droite classique essaie de se redéfinir, face à l’État marcheur parisien, comme le chevalier blanc de la ruralité et des petites villes perdues qui rassemblent une part conséquente de la population. Il y a dedans de l’ouvrier délaissé et du bourgeois méprisé, réunis sous la bannière identitaire de la Patrie et de la Chrétienté. On ne les séduit pas avec la guimauve des bons sentiments d’une urbanité distingué mais avec le « réalisme » du « terrain » « qui ne ment pas. »
Choqués par les mésaventures d’élections censément gagnés et lamentablement perdues, les Républicains se cherchent encore. Mais pour se rassurer, rien de tel qu’un chef fort en gueule. Les militants (à ne pas confondre avec les sympathisants) sont emplis de rancœur et se méfient du juppéisme comme de la peste. Cela remonte aux primaires de 2016 lorsque le camp d’Alain Juppé - il fallait le voir le soir du 27 novembre ! - décida de marcher avec Emmanuel Macron.
Ce n’est pas qu’une question d’actionnaires. Actuellement, la mesure serait indolore car les prix sont stables (selon les objectifs constitutifs du système européen de banques centrales !).
Toutefois, l’inflation présente de la masse monétaire qui fait monter les actifs au sommet pourrait se traduire par une hausse des prix à la consommation qui serait amplifié par le désordre provoqué par l’éclatement des bulles et la hausse brutale des taux d’intérêt. Si les revenus de base suivent exactement la vague (avec quelques mois de retard), le phénomène ne pourrait être enrayé tandis que le service de la dette asphyxie l’Etat et bloque l’investissement. Le prélèvement à la source des impôts procède des mêmes raisons. Un collectif budgétaire est présentée en conseil des ministre et hop ! on majore les taux de prélèvement de la prochaine paye !
Or, la mère des bulles, la bulle de la bulle de tout, c’est la bulle des dettes souveraines. Seul un désendettement général et la fin de l’interventionnisme public pourraient arrêter le massacre mais au prix d’un choc économique et social sans précédent. Ce serait un mal pour un bien : Amazon sur-côté 2000 fois son dividende permet à J. Bezos de se payer les entreprises nationales de distribution (La Redoute, les 3 Suisses). L’excès de crédit finance des centres commerciaux vides qui dépeuplent les centres-villes. Et j’en passe.
C’est beaucoup plus compliqué que cela ! Car les vrais israélites ne sont pas là où l’on pense.
En fait, les vrais juifs sont à chercher du côté des Chrétiens palestiniens de Bethléem qui descendent en ligne directe des bergers qui chantèrent à Noël avec les anges : « Gloire à Dieu au plus haut des Cieux ! » en adorant la Nativité du Fils incréé du Père. Un bon catholique se doit de croire que ces fidèles font partie du véritable Israël selon la Foi (comme toute la Sainte Église) mais aussi selon la chair (par leur saint lignage).
Certaines recherches ont montré le maintien de certaines coutumes typiquement juives parmi les premiers villages musulmans.
Je serais les Palestiniens, je revendiquerais : « Vive nous, les vrais fils d’Abraham, d’Isaac et de Jacob ! »