Le choix de ce mot N’était PAS innocent chez Péan quoi qu’il s’en défende
Le bonhomme n’en est pas à son premier dérapage "
Des liens ?
"Côté moralité il se pose là le bonhomme étant son passé et ses dérapages antérieurs "
Des liens ?
"Péan ignorait-il le caractère TROUBLE du mot COMOPOLITE dans l’histoire HONTEUSE de la France antisémite ainsi que celle de cette SINISTRE France collaborationniste ? NON "
Moi si, si les questions indiquées ci-dessus restent sans réponse, cela signifiera qu’il s’agit de calomnie et pas de fait. Ceci dit, je suis prêt à lire ce que vous avez à dire sur le sujet (je suis curieux, il n’y a pas d’arrière-pensée dans la question).
"Donc, n’en déplaise à tous les intervenants OUI Péan a joué du dérapage dans son expression comme Le Pen l’a fait et d’autres avec lui sur d’autres sujets. "
Dont acte, Péan agit comme Le Pen ... des liens pour ettayer cette affirmation ?
C’est affligeant. Pour ne pas répondre aux accusations faites dans le livre (que je ne lirai pas, je m’en moque éperdument), B. Kouchner a sorti l’arbre qui cache la forêt, en sortant "cosmopolitisme" de la forêt. J’ai d’ailleurs été bien étonné d’apprendre ladite connotation de l’expression, car je prenais, jusqu’ici, la définition comme d’un mélange de cultures, d’idées, d’expériences (et en ce sens, une richesse). Pour M. Kouchner, je trouvais que c’était en quelque sorte une définition de sa personnalité, lui qui a, de par son action, justement voyagé et contribué, à son échelle, à aider un peu les popuplations qu’il a rencontrées.
Je crois, M. Scheidermann, que vous avez voulu faire, vous aussi, un coup politique, qui n’a rien à voir avec du journalisme, et qu’encore une fois vous avez tort. J’étais d’accord avec France 5 (je n’ai *aucun* lien avec eux, si ce n’est la redevance comme tous les français) lorsqu’ils ont décidé d’arrêter l’émission, elle tournait en rond et était devenue une caricature de critique (allant même jusqu’à faire un arrêt sur images de la propre émission)...
J’espère que vous allez retrouver un nouveau souffle, et présenter des excuses circonstanciées à M. Péan, l’extrait présenté ici est tout bonnement indigne d’un "journaliste".