Drugar

@Gégène

Je dirais même plus :
https://www.youtube.com/watch?v=I3sJaJMdoPs

@zygzornifle
« ...quand a Macron, il fournit la vaseline ».

Je dirais plutôt qu’il EST la vaseline, où du moins le croit-il...
En fait, il serait plus vraisemblablement du verre pilé dans ce contexte, vu comment « sa politique » (dictée par l’UE et les ricains) passe très mal.

@Com une outre

« Macron est une nullité en politique internationale. Il parle avant de réfléchir,... »

Vous êtes bien généreux avec Le Poudreux en prétendant qu’il réfléchit, que ce soit avant ou après avoir parlé.
Quoi qu’il en soit je vous rejoins sur votre conclusion : « Vivement qu’il dégage ! »
Mais j’ai peur qu’il ne dégage pas de lui-même, mais qu’il faille le dégager de force (lui et toute la clique qui l’a mis et le maintient au pouvoir).

En tant qu’Orléanais, je peux témoigner que Grouard à très largement exagéré la situation et sert la narratif en bon toutou docile du système. 

Il y a eu un peu d’eau, serte, et certain endroit avaient des grosses flaques qui avaient du mal à s’évacuer, comme par exemple les tunnels sous place d’Arc ou il y avait 10 à 20 centimètres d’eau. Mais j’ai pu passer sans soucis avec ma voiture.

Par ailleurs, M Grourad a sans doute oublié les pluies torrentielles de juin 2016 qui avaient créé de graves inondations dans toute l’agglomération et aux alentours. Je me rappel du cataclysme que ça avait été, plusieurs mètres d’eau à certains endroits, la plupart des tunnels et des route un peu partout complétement impraticable et l’A10 noyée sous 1 mètre d’eau pendant des jours.

Je travaillais à Chartres en faisant l’aller-retour entre Orléans et Chartres tous les jours et cette période a été un calvaire. L’eau a mis près d’un mois et demi avant de complétement s’évacuer et il fallait zig-zaguer entre les trous d’eau, éviter certaines routes et finalement se retrouver dans les bouchons...

Je ne me rappelle pas que M Grouard ait parlé « d’emballement climatique » à cette occasion alors que la pluie d’orage du 18 juin été littéralement du pipi de chat en comparaison de ce qui s’est passé en 2016.

Mais sans doute été-t-il de bon ton pour notre cher politicien parachuté à Orléans de dramatiser afin de rentrer dans le narratif écolo-climato-dramatique à la con qui fait rage actuellement et ainsi faire le suce-boule auprès de ses maitres.

@rogal
« Pas exactement : c’était France Telecom, sous prétexte d’internationalisation. »
Oui, il y a le mot « Telecom », mais l’important ici était de faire disparaitre le mot « France »

« Quant à Orange, pas férocement anglais comme mot. »
Il se trouve que « orange » est le même mot en anglais et en français. Et cela n’a rien d’étonnant puisqu’au moins un tiers du vocabulaire anglais vient du français et pratiquement les 2 tiers d’une langue latine (principalement le français). Une certaine revanche sur la perfide Albion et son hégémonie linguistique.