Amusant... seulement ? Outre l’anecdote que représente les nouveaux rapports homme-machine, je trouve pathétique qu’un journaliste (soit-disant) puisse faire autant de fautes d’orthographe en si peu de lignes. Vivement le jour où les machines corrigeront les fautes de conjugaison, d’orthographe, de syntaxe et autres erreurs de style ou de grammaire que certains journalistes (certains mais ils sont aujourd’hui beaucoup trop nombreux) commettent. Dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, les machines dépassent l’homme, vivent les machines !