Salut, Juste quelques notes : -L’immigration légale reste un moyen temporaire d’obtenir un titre de séjour (contrairement aux demandes d’asile). Chiffre peu comparable avec les 750000 (si le chiffre est exact) de la génération annuelle des 20-30 ans qui eux on la nationalité française. Le chiffre comparable serait les demandes d’asiles acceptées (soit 26351) -Concernant les sortie du territoire, vous n’avez compté que les reconduites directes à la frontière. Le chiffre approximatif des réfugiés restés clandestinement passe de 47000 à 34000 (en comptabilisant toute les sorties) -15% de l’immigration légale (227550) est dite humanitaire correspond à 34000 -3562 demandes d’asile provenant de Syrie sur 4,9M de réfugiées syriens (au total depuis le début du conflit
Bonjour, Je ne vois pas dans quelle mesure
cette crise systémique est en train de se résorber. Si c’est par le
conflit armé actuel, je pense que c’est dans le prolongement
de notre modèle de croyance économique. Ce modèle économique, qui par laissez fairisme, à volontairement ou involontairement (peu importe) omit de prendre en compte deux facteurs évident de nos problèmes actuels : 1-Les ressources (crise énergétique) 2-Les déchets (crise climatique) C’est un modèle hors-sol. La
guerre (même globale) est une solution court-termiste. La société doit
changer plus profondément (sortie de l’individualisme et désurbanisation
notamment).
C’est ce que propose Piketty pour s’opposer à l’Allemagne. Ça reste un point de vue comme un autre à mon avis (ça n’est pas dis que l’Allemagne accepte sachant que beaucoup d’autres pays sortirai de la zone si réforme quand même - Luxembourg, Irlande, Malte, voir UK). 1-la domination au sein de l’UE change de camp mais elle est toujours là 2-l’UE possède 28 pays membres, si 3 s’entendent ça ne résout pas la difficulté de son mode de fonctionnement (même si le poids est un peu plus important, des contraintes internes sont présentes aussi) 3-les multinationales pourront toujours utiliser le manque de coercition des États
Votre point de vue est intéressant. J’ai regardé aussi vos vidéos. J’aimerai penser que l’on puisse avoir la liberté de choisir notre langue - et l’espéranto donnerait un poids plus important à l’Europe - mais je pense que le système actuel ne le permet pas. Il faut que tout les pays d’Europe s’y mettent et s’unissent dans le même objectif commun alors que pour l’instant c’est l’inverse qui s’est produit (l’Europe à divisé les pays entre eux plutôt que l’inverse - Grèce, migrants, monnaie unique, politique étrangère, délocalisations, politique fiscale -). C’est une Europe faite sur mesure par les riches pour les riches. Pour être plus pragmatique concernant l’avenir des langues, le problème de l’énergie et les années de récession inévitables dans un futur assez proche demandent à être analyser. L’avenir c’est le local, l’espéranto offre ce type de compromis dans le sens que géographiquement les déplacements dans l’Europe seront encore envisageables contrairement au voyage dans des pays tel que les États-Unis ou la Chine.