@Aldous : Je n’ai pas prétendu le lien entre poupée et bavarde, mais le lien entre poupée, bavarde et éducation.Mais je pense que tu l’avais compris et que tu tente juste à ridiculisé mon post.
@Giordano : Est-ce de l’ironie ou une simple erreur de ta part à avoir tourné ta phrase de tel manière, qu’a te lire on pourrait s’imaginer que je parle d’un guide au allure prophétique ? Ou comme Aldous tente tu de ridiculiser ?
Je pense simplement que nos valeurs, nos croyances etc.. ne sont que culturels et sociales.Ils n’y a qu’a voir l’histoire des peuples pour se rendre compte que dans tel temps de l’histoire les devoirs et qualités / défauts des sexes ne sont plus les mêmes selon d’autres temps.Que selon les cultures ces mêmes devoirs et qualités / défauts ne sont plus les mêmes.
Et que les adultes interagissent avec ces mythes et croyances sur les enfants.
Sinon pourquoi un père n’aime souvent pas que sons fils joue à la poupée ? après tout c’est le désir de l’enfant qui peut être souhaite juste joué...au papa.
Pourquoi une mère n’apprends pas à son cher fils autant de tâche ménagère qu’a sa fille ?
Pourquoi les garçons sont plus agité que les filles en règles générale ?
Vous pensez que c’est la testostérone ? Mais la testostérone n’augmente qu’après une bagarre par exemple, pas avant...Et les femmes ne sont pas dénuées de testostérone non plus, moins certes mais y sont plus sensible.
Ou bien est ce le regard des parents, surveillants etc.. qui se montre plus souple à l’égard des garçons que des filles quand ils s’agitent ?
Bref, je m’arrêterais là, je n’aurais certainement pas envie de continuez, puisque votre logique vous appelle à tourner en dérision et ridicule tout ce qui échapperait à votre réflexion.
Je conseil à certains ici : Cerveau Sexe et Pouvoir
« À la lumière des connaissances actuelles en neurosciences, on serait tenté de croire que les vieux préjugés sur les différences biologiques entre les hommes et les femmes ont été balayés. Ce n’est manifestement pas le cas :
médias et ouvrages de vulgarisation prétendent que les femmes sont » naturellement « bavardes et incapables de lire une carte routière, tandis que les hommes sont nés bons en maths et compétitifs.
Ces discours laissent croire que nos aptitudes, nos émotions, nos valeurs sont tablées dans des structures mentales immuables depuis les temps préhistoriques.
Cet ouvrage, qui s’adresse à un large public, replace le débat autour de la différence des sexes sur un terrain scientifique rigoureux, au-delà des idées reçues. L’enjeu est de comprendre le rôle de la biologie, mais aussi l’influence de l’environnement social et culturel dans la construction de nos identités d’hommes et de femmes.
Notre destin n’est pas inscrit dans notre cerveau »
Catherine Vidal est neurobiologiste à l’Institut Pasteur. Dorothée Benoit-Browaeys est journaliste scientifique.
En fouillant un peu, j’ai pu constater que le
féminicide n’est pas une loi de « genre » comme le souligne l’article
mais une loi qui s’applique pour les crimes perpétrés contre les femmes, ET
parce qu’elles sont des femmes. Donc une loi contre la misogynie, ce qui n’est
définitivement pas la même chose.
Maintenant on cri « au loup » on se frotte les mains
« vous voyez ces féministes, je vous l’avais dis.. », on va relever des
lois au Nicaragua ou autres pays, alors que ces mêmes pays sombreraient-ils
qu’on n’en parlerait pas.
Je ne suis pas pour cette loi tant elle me parait « floue » mais je
ne suis pas contre l’idée qui l’a soulevé.
Beaucoup le savent, en France tout les 3 jours une femme meure de
violences conjugale, dans certains pays elles sont juger pour une question de
genre, parce qu’elles sont des femmes. Beaucoup ne s’en émeuvent pas.
Et c’est ces mêmes (beaucoup) de personnes qui après avoir lu des articles sur
le Féminicide viennent nous dire "nan mais attendez, vous avez vu ces
féministes !" , ces mêmes personnes qui s’inquiète d’une non égalité ?
Alors pourquoi s’inquiéter maintenant, alors qu’elle n’existe
déjà pas ?