Ce ne sont que des animaux. Enfin bref, j’ai pas envie de rentrer dans ce débat. Arrêtez de mettre les animaux sur le même plan que les hommes, c’est révélateur de votre terrible opinion des hommes. Allez, salut.
Une très bonne nouvelle ! Vive la corrida ! Au diable les mondialistes qui prônent la disparition des traditions et l’uniformisation de tous les humains ! Nous sommes plus que des travailleurs !
Se rappeler, se rappeler, toujours se rappeler… Ça fait 70 ans maintenant, il serait peut-être temps d’oublier. Pourquoi cultiver ainsi une mémoire qui humilie les français ? Quel est l’objectif de cette transmission de la culpabilité sur plusieurs générations ? Je trouve cela malsain et, au passage, suspicieusement rentable. « Ils firent ce voyage sous la demande insistante de la France » Ils firent ce voyage sous la demande insistante du régime de Vichy. La France était à Londres et dans les maquis.
La procréation est une dimension importante de la relation sexuelle, mais je vous mets au défi de citer une phrase dans laquelle je dis que c’est son seul aspect.
Je conçois parfaitement que « deux âmes se rapprochent », même si ce sont deux âmes de même sexe. Je dis simplement que, le cas échéant, la manifestation charnelle de ce rapprochement ne peut pas être appelé « relation sexuelle » car ce terme est réservé à la rencontre entre un sexe mâle et un sexe femelle.
Nous voilà au noyau de notre désaccord, que vous formulez ainsi : « La pensée et la vie moderne tente de placer l’amour et son expression charnelle avant la réalité séxuée de ceux qui la vivent. »
En d’autres termes, vous pensez que l’amour entre deux individus justifie l’édification d’une fiction, c’est-à-dire d’une construction imaginaire consciente qui vise à escamoter les parties de la réalité qui ne plaisent pas à la pensée moderne, de sorte à considérer au même niveau les rapports hétérosexuel et homosexuel comme s’ils étaient réellement de même nature.
Pour ma part, je pense que la réalité est un paramètre important et qu’il ne faut pas l’occulter mais s’y plier, parce que si l’imaginaire humain est assez puissant pour fermer les yeux, il est dangereux de se priver de la vue car on risque de trébucher sur l’obstacle que l’on masque.