@The White Rabbit Oui, c’est vrai. Déjà, en France, il faudrait que ces articles aient plus de retentissement. Et puis, pour ce qui est de la traduction en anglais (ou dans d’autres langues, l’espagnol par exemple, là je serais moi-même capable de le faire) : que faudrait-il traduire exactement ? Un article ? Tous ? Cela suffirait-il ou bien l’auteur aurait-il à répondre à des sollicitations en anglais ? Il y a des traducteurs qui seraient sans doute partants pour travailler là-dessus bénévolement. Il faudrait juste préciser la « mission » exacte et on pourrait les solliciter. (Je connais des forums de traducteurs...)
Cet article et toute la série de ceux qui le précèdent (à
commencer d’ailleurs par celui de Biomoon) sont passionnants. Très bien
argumentés et convaincants. Merci pour votre excellent travail !
La seule question aujourd’hui n’est pas de savoir qui est à
l’origine de cette thèse mais comment la mener à sa fin, à savoir comment la faire connaître par le plus
grand nombre de chercheurs de façon à atteindre le seul but véritable : permettre
un traitement efficace le plus vite possible et sauver des vies. Et là, on est
plutôt dans l’urgence...