Dans le cadre de ce fil de conversation, vous vous êtes contenté de nous renvoyer vers vos article. Donc le terme « toujours » est faux.
Je maintiens donc ma phrase. Je parlais de vraies références.
Et l’ad hominem est ici inutile.
Effectivement, en 1987, l’homosexualité est devenue dysphorie du genre. On l’a retiré comme pathologie du DSM en cette année (37% de personnes étaient contre ce retrait d’ailleurs, ce qui correspond à de nombreux psychiatres et psychanalystes pour moi, bizarrement), avec une première étape en 1973 (ratifié au congrès de Dallas de l’APA en 1974 suite à une extrêmement féroce campagne des anti gays).
D’abord, parce que effectivement je me suis trouvé moins seul mais surtout parce j’ y ai appris « qu’il y a environ 40 ans, l’homosexualité a été enlevée du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders ».
En 1987, pour être précis et contre l’avis de nombreux psychanalystes pour l’être plus encore.
« La communauté psychiatrique » pensait qu’il y avait des garçons et des filles qui souhaitaient/ voulaient/ imaginaient être d’un autre sexe que celui que la nature leur avait donné .... apparemment à cause des fantasmes de leur maman. Et de nombreux thérapeutes avertis et de bonne foi (?) étaient convaincus qu’ils pouvaient soigner (normaliser) ces personnes ditezomos, tout en se remplissant les poches. J’imagine que les plus remontés s’acharnaient à démontrer à quel point ces personnes ditezomos et leus mères, les mèresdèzomos mystifiaient le monde. Surtout quand elles commençaient à avoir l’outrecuidance de fréquenter des cafézomos voire des gayprides
Sans doute étaient-ils aussi persuadés que l’homosexualité était un effet de mode puisqu’il « y » en avait de plus en plus et gageons qu’ils étaient « consternés parce que EUX étaient « conscients que le communautarisme (gay) desservait lui aussi « lakozdelasexodiversité ».
Et tout cela sans aucune « repentance ». Ni humilité. Jamais.