La cis-obsessisme se soigne, ne t’inquiètes pas ;o)
@ Trolleon
Qui est-ce qui detient l’ultime responsabilité pour les lois qui définissent une société ? A priori, puisque nous ne sommes pas dans une anarchie, c’est l’Etat. L’Etat impose et maintient i’idéologie que c’est une de deux perceptions du génital (homme/femme) qui est à l’origine de la définition de l’identité sexuée (le genre, ce qui est dans la tête).
Pourtant, c’est le genre, ce qui est dans la tête qui est fondamentale de la definition de l’identité sexuée de toute personne...
Oui des pathologies comme le cis-obsessisme ce soignent... Courage ;o)
@Trolléon
« Quant à une pathologie d’origine politique.. Non, peu convaincant »
Pourtant, c’est l’Etat qui assume l’entière responsabilité des règles qui gouvernent la société, y-compris le règle que c’est une de deux perceptions du sexe de naissance qui doit définir l’identité de genre, la personnalité sexuée, ce qui est acquise tout au long de la vie...
C’est le cas contraire, l’identité de genre qui est responsable de la définition du sexe : Sinon, l’idée de chirurgie génitale et chirurgie esthétique, et même l’idée de l’homme et de la femme n’existeraient pas....
Dis ce que tu veux , mais penses-tu que ton identité de genre se situe entre tes jambes ? ;o)
@Trolléon
A priori, les politiques prennent (ou devraient prendre) des decisions politiques. Quand l’origine d’une pathologie est politique (l’idée politique que la société doit être divisée en deux basée sur l’idée que l’identité de genre puisse se résumer par une de deux perceptions de l’entrejambe), les politiques ont raison d’agir...
Par ta réponse, il est évident que tu confonds l’identité de genre (les idées sexuées par lesquelles une personne se définit) et l’identité, ce qui est l’étiquette donnée pour identifier quelquechose.
Un chien est un chien...un chat un chat.
Un homme est un homme et une femme est une femme.
L’identité de genre est autoproclamé : sinon la transidentité n’existerait pas.
Si je te dis tu es une femme, et tu dis tu es un homme, qui a raison ?
(2eme envoie, veuillez excuser les typo dans le texte précédent)
@Krokodilo : Tout à fait, croire que le corps est indépendant de l’esprit est très naïf, cependant l’idéologie de l’homme et de la femme est basée sur cette notion. Et pourtant, c’est l’esprit qui st clef dans la définition de l’identité sexuée. S ce n’était pas, l’idée de transidentité, et d’opérations, de vêtements et comportements sexuées n’existerait même pas... Nos corps agissent sur nos esprits, mais fondmentalement, c’est l’esprit qui est décideur...
@johnford : L’apartheid en question est celui qui impose l’idéologie que ce qui est dans la tête (toutes les idées sexuées) sont divisées par deux modèles basées sur une perceptoin du génital. Si c’était le cas, encore, l’idée de personnes transgenres n’existerait pas... C’est ce qui est dans la tête (l’ensemble des idées sexuées) qui définit l’identité de genre. Essayer de définir la diversité de comportements par une de deux visions du génital de naissance ignore cela.