l’artiste doit gagner, et gagner bien, car il produit dans des conditions psychologiques souvent effrayantes (exclue Madona)- on s’en fiche de ce qu’il fera de son gain...le producteur aussi, l’éditeur même, tous ceux qui contribuent réélemlent à ce qu’une oeuvre voie le jour doivent gagner, que cette oeuvre soit magnifique, bof, chiante, agaçante ou nulle au résultat.
Mais, le blaireau qui déplace son pognon en bourse depuis chez lui sur ordinateur, et qui crois qu’il a misé sur le gros lot, non, il s’y crois réélement, c’est lui l’artiste, dans son citron réduit...eh bien, ce blaireau-là n’est pas content que l’on n’arrive pas à vendre du caca musical ou visuel auquel il a largement contribué et il y a cru ! Et on pourrait en dire tellement plus...mais ce genre de parasites sont aussi nombreux que la diversité humaine et font palir de honte les parasites du paludisme en ce qu’il concerne l’effet néfaste et le retard sur le progrès qu’ils provoquent. Mais, doublement malheureusement, ce parasitage-là ne concerce pas seulement la culture, c’est bien plus ramifié.