La parabole est mal orientée : Prenez la ville de Drachten pour exemple.
Il faut quelques règles efficaces et applicables à tous tel que « priorité à droite » point. Lire Freakonomics et prendre conscience que la pire des prunes c’est de donner une mauvaise impression aux personnes qui nous entoure.
Plus généralement, l’exclusion, l’échec et l’individualiation a fait des ravages psychologiques et sociétaux. Avec un système moins contraignant, la quantité de personnes résoluement nuisibles ( on compte, à vérifier, 20% de la population pour 10% de bienfaiteurs et 70% de suiveurs) ne peut que diminuer.
Il faut responsabiliser les personnes plustôt que les asservir à un shéma organisationnel stressant qui tente à individualiser plustôt qu’à favoriser les synergies.
Pour les banques,et bien l’histoire est en dehors de tout système puisqu’il s’agit d’une grosse bulle que l’on nourrit à cause de la réglementation (On ne dépose plus notre argent pour la mettre en sécurité mais parceque le système nous oblige à le faire).
Il n’y a rien à faire si ce n’est de transformer radicalement leurs activités pour revenir à une vrai monnaie plustôt que tous ces échanges de dettes ... On surconsomme avec la reconnaissance de dette d’autrui et on s’étonne qu’il n’y a pas de croissance, c’est pitoyable !