Bernard Conte n’a pas de vision nostalgique, il constate comme tous que la Côte d’Ivoire s’est enfoncé et s’enfonce chaque jour un peu plus vers le moyen âge.
Il suffit de voir la situation des infrastructures (écoles, hôpitaux, bâtiments publics...) pour constater que le pays avance à reculons et que la pauvreté s’étend de plus en plus.
Bien évidemment, il reste toujours l’espoir de penser que c’est la faute aux autres (la France, le FMI...), ça aide vachement à construire.