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Eric de Trévarez

Recherche en séméiologie et symbolisme. Agrégé d'Economie et Gestion
 
 

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  • Premier article le 04/07/2008
  • Modérateur depuis le 14/01/2009
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Derniers commentaires



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 12:49

    @JL C’est sûr qu’il manque lors de l’arrivée des enfants à l’école, un apprentissage spécifique de la maison, surtout que cet apprentissage, en milieu familial, ne peut pas être dispensé par l’école. 



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 12:44

    @Gilles Mérivac Dans les chansons, il y a souvent une pure sagesse, comme dans les dictons.



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 12:40

    @Birdy
    Vous semblez plein de certitudes tranchantes et péremptoires…



  • Eric de Trévarez 12 juillet 2018 14:08
    Des chercheurs qui ont exposé sur une longue durée des souris à un « cocktail de pesticides » faiblement dosé ont noté un surpoids chez les mâles, et pas chez les femelles, a annoncé mercredi 11 juillet 2018 l’Inra.

    Différence entre les sexes

    « On a observé qu’après six mois intervenait une augmentation significative du poids, par rapport aux individus non exposés, uniquement chez les mâles », selon Mme Payrastre.

    Au bout d’un an, les mâles nourris aux pesticides avaient pris deux fois plus de poids que ceux nourris au bio.

    Autre modification : ces souris mâles ont souffert des signes précurseurs du diabète, une hyperglycémie à jeun, et « leur foie est rempli de gouttelettes lipidiques ».

    Chez les femelles, rien de tel. « Cette différence entre les sexes est assez nette. Cela veut peut-être dire que les oestrogènes [hormones sexuelles femelles] ont un effet protecteur contre les effets des pesticides », a avancé la chercheuse.

    « Évidemment il est toujours délicat de transposer de l’animal à l’homme. Chez l’homme, des études épidémiologiques montrent que si on privilégie une alimentation bio, on a moins de risques de développer un syndrome métabolique. Ce qui laisse penser que l’exposition prolongée aux pesticides a aussi un effet sur nous », a-t-elle estimé.

    L’article Les pesticides à l’origine d’un surpoids chez les souris mâles selon une étude est apparu en premier sur Metro.




  • Eric de Trévarez 1er juin 2018 13:30
    @Self con troll
    Il est difficile de répondre à votre question, mais personnellement je ne pense pas, que toutes les molécules de synthèse aient pas un pouvoir féminisant. Ceci dit la tendance est là, par la nature biologique même des hydrocarbures, en y incluant tous les plastiques et leurs dérivés chimiques.
    La fragilité masculine aux insecticides et aux pesticides, est aussi avérée, et j’irai plus loin en posant une question précise, à savoir, si la fragilité masculine, lorsque l’on crée de nouvelles molécules, ne serait pas non plus une données particulière et précise, à prendre en considération. La tendance planétaire, au niveau des mâles de toutes les espèces, est très inquiétante. Quant à l’espèce humaine, sans les moyens de fécondations artificielles, elle déjà serait déjà menacée d’extinction, par la baisse vertigineuse de la fertilité masculine. 
    Il y a, c’est sûr, un antagonisme entre toutes ces molécules de confort et notre sécurité biologique. 
    Par compte, je me demande, si la tendance dans la nature même, ne serait pas à la féminisation, et cela, de façon presque imperceptible. Le chromosome Y semble être un résidu... En tout cas culturellement, par delà les apparences, il me semble que c’est toujours sous jacent, et la fébrilité du pouvoir masculin sur les femmes, en est une confirmation même. Mon idée derrière, serait que la part de nécessité de féminisation, serait plus importante que celle du hasard, dans le phénomène, pour des raisons que nous ignorons…
    Le masculin et la virilité ne sont que des symptômes de la testostérone, et c’est pour cela que j’en ai brossé quelques avantages. Une féminisation totale donne des sociétés que nous connaissons, chez les insectes. Le problème devient philosophique. Je ferai une dernière remarque, concernant la dernier quartile des personnes les plus douées, où la gente masculine est surreprésentée. 


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