Et blabla et flonflons... inflations, surenchères de souffrances et d’horreurs...60 ans, ce n’est plus crédible.
Si Arafat avait voulu la paix, il l’aurait eue...Golda Meir aussi.
Cette guerre devient suspecte. Au lieu de nous injurier, ne serait-il pas nécessaire de comprendre de quoi il s’agit ?...PERSONNE NE VEUT LA PAIX. Pourquoi ?...les sous ?...la drogue ?...
A signaler comme crime de guerre le pire qui soit : prendre des femmes et des enfants comme boucliers humains, tandis qu’on balance des pétards sur l’ennemi, à l’abri de tunnels bien bétonnés.
Au dossier de Presse, le Hesbollah annonce 46 morts dans ses rangs.
Et vous voulez me faire pleurer sur ces salopes ?...
Seulement une excellente mimiqueuse, porte-fiel du mécontentement général. Café du commerce qui repousse encore plus loin que loin les limites du goût... .Répété sans changer un iota de charleville à Pornic, soir après soir... Dérangeant chez une femme, même laide...
Mais pas une artiste : elle n’écrit pas les textes...
Ah¨...Saint Desproges,Sainte Joly, un miracle, vite !... mettez bas un enfant vif, spirituel, cultivé...un acteur fin et expressif comme Joly, surréaliste, poète et cocasse comme Desproges...
Evidemment, il y aura toujours des amateurs de saucisses...
Enfin une bonne nouvelle que je suis ravie de vous donner : l’auteure est de droite.
Interessant votre chapelle : le film est un succès commercial (3M5 à ce jour ). Ce qui indique que cette jeunesse à la con se reconnaît de plein fouet dans ce roman-photo qui les fait rêver...que dire encore de positif ?...mise en scène fluide, montage serré, dialogues malheureusement pris sur le vif :
Pourquoi ne pas faire confiance à l’auteure qui n’est pas plus bête que vous et moi pour regarder sans à priori une chronique du terrible échec, du crime culturel commis par Mai 68...
Vous auriez passé une meilleure soirée...éventuellement profitable. Avec un minimum de bonne foi, vous en seriez arrivés, au lieu de démolir le film, crachant la responsabilité sur l’autre, à vous demander ce que votre génération de nantis culturels a fait de profitable pour la suivante. Pourquoi ne vous êtes vous pas révoltés comme il est de mode de le faire aujourd’hui devant les mesures démissionnaires prises par Edgar Faure ?...
Qu’as tu fais, toi que voilà, de leur jeunesse ?...
Dans le chaudbise, Monsieur, on ne fréquente pas. On juxtapose.
Raison pour laquelle, quand on croise un destin qui a de l’intérêt, une présence qui sort de l’ordinaire, on est d’autant frappé.
J’ai mangé avec Maître Cohen-Saban. Professionnellement. Et je peux assurer ici que c’est un voyou. Qui a cependant très bonne réputation. Vous me permettrez donc de me méfier des bonnes ou mauvaises réputations et de n’en tenir aucun compte. A commencer par la mienne.
Alors, puisque j’ai sur vous l’avantage d’avoir croisé au moins l ’interpellé de cet article, ce qui n’est même pas votre cas qui en avez cependant une idée si précise, je réitère mes questions :
Comment se fait-il qu’une fraction de la Police d’Etat se permette des exactions de ce type, sur la permission ou l’ordre de qui ? Quel que soit le degré de turpitude supposé de la victime dont ma question ne tient aucun compte.
Et votre pseudo-chantage pertinent n’est pas de nature à m’impressionner.
Ah ! vous êtes tous une belle bande de voyous !...
Sous prétexte que le type est beau mec et surtout, qu’il a l’air friqué, on en oublie que c’est sur lui qu’on a tiré !...pour le flinguer, quand même !...
Il dit qui, quand, comment et tout ce que vous trouvez à dire c’est qu’il a l’air pourri, ce qu’il est peur-être mais je ne connais pas le dossier...et vous non plus. Avec vous, c’est Rome, les jeux du Cirque, le pouce en bas, rien que sur la gueule !...
Eh bien moi, ça m’intéresse de savoir de quelle faction issue des barbouzes gaulliennes est parti l’ordre de l’éliminer. Pourquoi, quand, comment.
Maître Achoui, continuez, faites parler de vous, expliquez nous tout et surtout de quoi les anciens services Pasqua sont capables, comment il se fait qu’ils sont encore en activité, pourquoi et sur l’ordre de qui ils sont dans l’impunité.
On a oublié de préciser que le Maître en question est d’une intelligence exceptionnelle et, ne serait-ce que cela, vaut qu’on préserve une particularité qui fait tant défaut à notre génération béhachélienne.