La nette reprise économique amorcée dès la fin de la guerre civile (1975-1990) et le dynamisme d’une classe moyenne traditionnellement éduquée et entreprenante ne semblent pas suffire pour la transition démocratique au Liban : les obstacles sont toujours tels (...)
774 visites 21 déc. 2009 | 10 réactions | Errachid Majidi + Partager
il y a pas de mal absolu ni de bien absolu, il y a des intèrêts qui convergent et qui divergent......