- Subventions versées par l’Etat aux associations en 2010 = 1 483 995 024 €
- Cadeaux fiscaux de Nicolas Sarkozy = 12 à 15 milliards d’ €uros
Donc c’est pas la somme des subventions qui est choquant. Ce qui est choquant c’est l’utilisation de cet argent par les responsables d’associations, car bien trop souvent leur salaire est élevé comparé aux quelques employé-es qu’ils embauchent. La plupart du temps ils prennent des femmes pour un travail de bureau à mi-temps hyper mal rémunérées.
J’ai travaillé en tant que salariée dans des associations et je pense qu’il faut plus de contrôles pour ne pas laisser quelques personnes malhonnêtes sapaient totalement l’idée d’association qui a une utilité dans notre société.
Aux termes de la constitution provisoire, le président sera« exclusivement Tunisien, de religion musulmane, descendant de parents tunisiens et âgé de 35 ans minimum ». Il est choisi au vote secret à la majorité absolue parmi des candidats qui doivent être parrainés chacun par quinze élus au moins.
Lors des débats souvent vifs et contradictoires, des élus avaient proposé en vain d’autoriser la candidature de binationaux et d’énoncer expressément le droit de chaque Tunisien « ou Tunisienne » d’être candidat à la présidence.
Laïcité et islamisme sont totalement incompatibles.
De plus en plus, les fondements de notre société subissent une pression de l’islam qui s’efforce de pénétrer notre arsenal juridique pour obtenir un droit de cité de plus en plus large. Nous aurions tort de ne pas prendre garde à ce phénomène, car son développement risque de bouleverser ce qui fait l’essence de la France.
Les revendications des islamistes se manifestent, les unes derrière les autres, jamais en bloc et leur succession constitue un piège qui fonctionne à merveille, car il nous contraint à réagir au coup par coup. A l’école/voile école/cantines/nourriture halal, burqa, construction de mosquées avec l’argent des contribuables... la charia gagne du terrain dans les banlieues, dans l’entreprise,dans le commerce, avec ces chaînes de distribution et d’alimentation qui s’adaptent à la demande d’une clientèle musulmane, quand elles ne la précèdent pas. On ne sert plus de porc dans les écoles, dans les prisons, dans les avions, car il est plus simple de procéder ainsi que de proposer deux menus. On tend à banaliser des pratiques archaïques, par commodité, sans s’apercevoir qu’elle devient la norme. Qui peut croire que nous pouvons continuer sur cette voie sans dommage pour l’équilibre de notre société ?
Notre politique de la ville est un désastre qui a englouti des milliards d’euros. Des associations ont alimenté avec l’argent du contribuable un esprit communautariste au lieu de favoriser l’intégration, à défaut de l’assimilation. Nous voilà avec des centaines de milliers de Français malgré eux, qui, à ce titre, présentent une force revendicative que nous aurons du mal à contenir, et une immigration clandestine dont le poids est à redouter.
Un coup d’arrêt s’impose pour dire clairement que la charia est incompatible avec nos principes républicains.
En tous cas chez eux les islamistes ne se gênent pas faire de la ségrégation :
Aux termes de la constitution provisoire, le président sera« exclusivement Tunisien, de religion musulmane, descendant de parents tunisiens et âgé de 35 ans minimum ». Il est choisi au vote secret à la majorité absolue parmi des candidats qui doivent être parrainés chacun par quinze élus au moins.
Lors des débats souvent vifs et contradictoires, des élus avaient proposé en vain d’autoriser la candidature de binationaux et d’énoncer expressément le droit de chaque Tunisien « ou Tunisienne » d’être candidat à la présidence.
Les médias étrangers suivent de près la polémique et s’intéressent à ce que préparent les journalistes de Charlie Hebdo depuis les locaux de Libération, où ils ont été accueillis depuis la destruction du siège de leur titre. Le Guardian raconte également comment le journal satirique « ne montre aucune retenue » dans son numéro à venir « malgré l’attaque » au cocktail molotov de ses locaux, avec un certain étonnement, voire de l’admiration. « Ses locaux ont été incendiés, son site web hacké, sa page Facebook suspendue pendant 24 heures, et son personnel est la cible de menaces de mort, alors vous pensiez que le magazine satirique français Charlie Hebdo aurait essayé – au moins pendant quelques temps - d’éviter de bouleverser qui que ce soit. ‘Mais non !’ (en français dans l’article, ndlr) », a écrit le journaliste Kim Willsher.
Lorsque le siège de Charlie Hebdo a été incendié la semaine dernière, la polémique avait déjà été relayée par les plus grands médias anglo-saxons. LeTelegraph, le New York Times, le Wall Street Journal, le Los Angeles Times ou encore Fox News sont longuement revenus sur les conséquences de la publication de « Charia Hebdo » dans l’Hexagone.