@Eric F La question est : comment une revue parmi les plus prestigieuse de publications scientifiques avec comité de relecture a laissé passé une étude avec tant d’incohérence qu’un profane pouvait les identifier sans difficulté ? Et les questions sous-jacentes sont : Les relecteurs ont ils tous été corrompus, ou menacés ou que sais-je ? Par qui ? et dans quel but ? Pourquoi toutes les études sur la chloroquine qui ont été interrompues sur la base de cet article n’ont elles pas été réinitiées une fois la fraude connue ? Si ce remède ne fonctionnait clairement pas, pourquoi tricher pour le faire interdire ? Cela a-t-il quelque chose à voir avec le fait qu’aucune AMM conditionnelle ne peut être délivrée s’il existe un remède ? Dernière question qui peut fournir une piste de réponse : Combien ont rapporté ces AMM conditionnelles au laboratoires pharmaceutiques ?