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Derniers commentaires



  • etonne 22 août 2019 16:51

    « Le marcheur est à l’écoute du monde environnant... »

    c’est pour cela que les accès aux centre villes de plus en plus piétonniers sont fermés aux handicapés (2 millions de personnes quand même !

    Les déficiences motrices :

    représentent 2,3 millions de personnes
    concernent environ 5,8% de la population active
    chez 37%, la déficience est isolée ou prédominante
    le handicap moteur recouvre les difficultés à se déplacer ou exécuter certains gestes ou mouvements

    )



  • etonne 26 juillet 2019 10:20

    petit rappel sur france 24 et la « propagande »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/France_24

    https://fr.wikipedia.org/wiki/France_24#cite_ref-22

    France 24 commence à émettre le 5 décembre 2006 à 20 h 29, uniquement en streaming sur Internet, puis dès le 6 décembre à la même heure sur le câble, le satellite et l’ADSL. Elle diffuse en français et en anglais, en Europe, en Afrique, au Proche et Moyen-Orient, et dans les villes de New York et Washington, touchant ainsi près de 75 millions de foyers dans plus de 90 pays23,24,25.

    « Il est indispensable qu’un grand pays comme la France puisse avoir un regard sur le monde et diffuser ce regard, naturellement conforme à nos traditions, à notre conception de la civilisation, de la paix, de l’humanisme, de la mondialisation. »

    — Jacques Chirac, Interview sur France 2423,24,25.








  • etonne 23 novembre 2017 09:32

    Il en avait marre de se faire agresser sexuellement toutes les nuits par sa main droite : il s’est fait amputer car il ne voulait pas assumer son auto sexualité



  • etonne 21 octobre 2017 11:08
    C’est pas gagné !
    La réforme du baccalauréat. :=))

    In : Gustave Le Bon (1910) Psychologie de l’éducation

    "Les résultats désastreux de l’enseignement classique ayant été reconnus par les universitaires qui ont déposé devant la Commission d’enquête, ils se sont naturellement demandé comment y remédier.

    Avec cette logique simpliste si répandue chez les latins, ils ont vite découvert la cause secrète du mal, le bouc émissaire qu’il fallait charger des crimes d’Israël. Le coupable c’était le baccalauréat ! Et avec ce radicalisme énergique qui est le produit nécessaire des raisonnements simplistes, le remède a été immédiatement signalé. Le baccalauréat étant la cause évidente de tout le mal, il n’y avait qu’à le supprimer. Sans perdre de temps, un projet de loi a été déposé dans ce sens au Sénat.

    Supprimer est, bien entendu, une façon de parler. L’esprit latin n’hésite jamais à demander des réformes radicales, mais comme, de par son hérédité, il est doté d’un conservatisme extrêmement tenace, il concilie ces deux tendances contraires en se bornant à changer simplement les mots sans toucher aux choses.

    L’infortuné baccalauréat a suscité un intéressant exemple de cette mentalité spéciale. Après avoir proposé de le supprimer, on propose immédiatement, — et cela dans le même projet de loi, — de le rétablir sous un autre nom. Il ne s’appellera plus baccalauréat, il s’appellera certificat d’études, à l’imitation de ce qui se passe en Allemagne, et de cette façon notre enseignement classique vaudra évidemment celui des Allemands. Rien n’est, comme on le voit, plus simple.

    Ce qui semble tout à fait remarquable et digne d’être offert aux méditations des psychologues c’est que personne n’ait vu, ou au moins n’ait dit, que les parchemins sur lesquels on aura remplacé le mot “ baccalauréat ” par “ certificat d’études ” ne sauraient en aucune façon posséder la vertu de modifier les méthodes qui rendent notre enseignement inférieur à ce qu’il est chez la plupart des peuples. Sans doute on nous prévient que ce nouveau baccalauréat, qualifié de certificat d’études, sera précédé de sept à huit baccalauréats spéciaux, dits examens de passage, que l’élève sera obligé de passer devant un jury à la fin de chaque année scolaire. J’ai déjà montré l’enfantillage d’un tel projet de réforme. Si les résultats étaient les mêmes qu’à l’examen final du baccalauréat actuel — et pourquoi seraient-ils différents — la moitié seulement des élèves serait reçue. Les lycées perdraient donc d’un seul coup la moitié de leurs élèves, et leur budget, qui présente déjà des déficits énormes, serait si onéreux pour l’État, que les professeurs arriveraient vite à recevoir tous les candidats. Les choses redeviendraient donc exactement ce qu’elles sont aujourd’hui.

    Nous sommes loin de penser cependant que la campagne entreprise contre le baccalauréat ait été inutile. Elle a contribué à. montrer aux moins clairvoyants ce que valent nos études classiques, et c’est pourquoi nous n’avons pas jugé inutile de consacrer un chapitre à cette question. Ce sont les examens du baccalauréat qui ont mis en évidence la pauvreté des résultats produits par les études classiques.

    Ce baccalauréat si incriminé n’est en réalité qu’un effet et en aucune façon une cause. Qu’on le maintienne ou qu’on le supprime, ou encore qu’on change son nom, cela ne changera en aucune façon les méthodes universitaires. Si on le remplace par un certificat obtenu après un examen passé dans l’intérieur du lycée, le seul avantage sera de dispenser les professeurs de faire constater au public l’ignorance des élèves qu’ils ont formés."

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