« Le marcheur est à l’écoute du monde environnant... »
c’est pour cela que les accès aux centre villes de plus en plus piétonniers sont fermés aux handicapés (2 millions de personnes quand même !
Les déficiences motrices :
représentent 2,3 millions de personnes concernent environ 5,8% de la population active chez 37%, la déficience est isolée ou prédominante le handicap moteur recouvre les difficultés à se déplacer ou exécuter certains gestes ou mouvements
France 24 commence à émettre le 5 décembre
2006 à 20 h 29, uniquement en streaming sur Internet, puis dès le
6 décembre à la même heure sur le câble, le satellite et l’ADSL. Elle diffuse en français et en
anglais, en Europe, en Afrique,
au Proche et Moyen-Orient, et dans les villes de New
York et Washington,
touchant ainsi près de 75 millions de foyers dans plus de 90 pays23,24,25.
« Il est indispensable qu’un grand pays comme la France puisse
avoir un regard sur le monde et diffuser ce regard,
naturellement conforme à nos traditions, à notre conception de
la civilisation, de la paix, de l’humanisme, de la
mondialisation. »
— Jacques Chirac, Interview
sur France 2423,24,25.
Il en avait marre de se faire agresser sexuellement toutes les nuits par sa main droite : il s’est fait amputer car il ne voulait pas assumer son auto sexualité
C’est pas gagné ! La réforme du baccalauréat. :=))
In : Gustave Le Bon (1910) Psychologie de
l’éducation
"Les résultats désastreux de l’enseignement
classique ayant été reconnus par les universitaires qui ont déposé
devant la Commission d’enquête, ils se sont naturellement demandé
comment y remédier.
Avec cette logique simpliste si répandue chez les
latins, ils ont vite découvert la cause secrète du mal, le bouc
émissaire qu’il fallait charger des crimes d’Israël. Le
coupable c’était le baccalauréat ! Et avec ce radicalisme
énergique qui est le produit nécessaire des raisonnements
simplistes, le remède a été immédiatement signalé. Le
baccalauréat étant la cause évidente de tout le mal, il n’y
avait qu’à le supprimer. Sans perdre de temps, un projet de loi a
été déposé dans ce sens au Sénat.
Supprimer est, bien entendu, une façon de parler.
L’esprit latin n’hésite jamais à demander des réformes
radicales, mais comme, de par son hérédité, il est doté d’un
conservatisme extrêmement tenace, il concilie ces deux tendances
contraires en se bornant à changer simplement les mots sans toucher
aux choses.
L’infortuné baccalauréat a suscité un
intéressant exemple de cette mentalité spéciale. Après avoir
proposé de le supprimer, on propose immédiatement, — et cela dans
le même projet de loi, — de le rétablir sous un autre nom. Il ne
s’appellera plus baccalauréat, il s’appellera certificat
d’études, à l’imitation de ce qui se passe en Allemagne, et de
cette façon notre enseignement classique vaudra évidemment celui
des Allemands. Rien n’est, comme on le voit, plus simple.
Ce qui semble tout à fait remarquable et digne
d’être offert aux méditations des psychologues c’est que
personne n’ait vu, ou au moins n’ait dit, que les parchemins sur
lesquels on aura remplacé le mot “ baccalauréat ” par
“ certificat d’études ” ne sauraient en aucune façon
posséder la vertu de modifier les méthodes qui rendent notre
enseignement inférieur à ce qu’il est chez la plupart des
peuples. Sans doute on nous prévient que ce nouveau baccalauréat,
qualifié de certificat d’études, sera précédé de sept à huit
baccalauréats spéciaux, dits examens de passage, que l’élève
sera obligé de passer devant un jury à la fin de chaque année
scolaire. J’ai déjà montré l’enfantillage d’un tel projet de
réforme. Si les résultats étaient les mêmes qu’à l’examen
final du baccalauréat actuel — et pourquoi seraient-ils différents
— la moitié seulement des élèves serait reçue. Les lycées
perdraient donc d’un seul coup la moitié de leurs élèves, et
leur budget, qui présente déjà des déficits énormes, serait si
onéreux pour l’État, que les professeurs arriveraient vite à
recevoir tous les candidats. Les choses redeviendraient donc
exactement ce qu’elles sont aujourd’hui.
Nous sommes loin de penser cependant que la
campagne entreprise contre le baccalauréat ait été inutile. Elle a
contribué à. montrer aux moins clairvoyants ce que valent nos
études classiques, et c’est pourquoi nous n’avons pas jugé
inutile de consacrer un chapitre à cette question. Ce sont les
examens du baccalauréat qui ont mis en évidence la pauvreté des
résultats produits par les études classiques.
Ce baccalauréat si incriminé n’est en réalité
qu’un effet et en aucune façon une cause. Qu’on le maintienne ou
qu’on le supprime, ou encore qu’on change son nom, cela ne
changera en aucune façon les méthodes universitaires. Si on le
remplace par un certificat obtenu après un examen passé dans
l’intérieur du lycée, le seul avantage sera de dispenser les
professeurs de faire constater au public l’ignorance des élèves
qu’ils ont formés."