Fananas

Monsieur L

Croyez-vous que ce continent, traversé de guerres à la machette et de famines toutes plus effroyables les unes que les autres, a des conseils à nous donner ? à nous les européens ?
Allons, allons... Que les africains s’occupent de leurs récoltes, qu’ils rangent leurs kalachnikovs et se mettent à travailler sérieusement et là seulement, ils pourront nous prodiguer leurs proverbes ridicules !

Non, non, rassurez-vous mon bon monsieur Cabanel, j’ai une excellente nouvelle qui va vous ôter toute inquiétude : au jour d’aujourd’hui et à l’instant « T », le nombre de morts suite à l’accident nucléaire de Fukushima s’élève à zéro (la tête à Toto !). C’est un miracle, je vous le concède !

Bonjour
J’ai lu la totalité de cet article et je ne l’ai pas trouvé intéressant. C’est la raison pour laquelle je vous ai moinssé. Mais je suis tout de même heureux de retrouver le clown de service d’Agoravox, vous en l’occurence. Votre absence commençait à m’inquiéter.
Article fourre-tout, qui mélange tout, truffé de liens plus ou moins extravagants (parfois rédigés dans un français approximatif). Vous donnez l’impression d’attendre la fin du monde avec impatience et je suis sûr que vous allez nous faire une dépression nerveuse, le 22 Décembre 2012, s’il ne se passe rien.

Et j’ai oublié : « Arrête de ramer, t’attaques la falaise » (de Michel Caputo, sorti en 1979)

Je suis sidéré par le succès du cinéma made in Hollywood, toute cette daube que les français avalent sans broncher, alors que notre industrie cinématographique produit tant de films bien plus intelligents et qui explorent toutes les facettes des sentiments humains. Pour essayer de vous convaincre (mais je crois que c’est mission impossible), je ne citerais que :
- « Prends ton parapluie, il va pleuvoir » (de Zbignew Boltanski)
- « Mets ta ceinture, c’est plus prudent » (de Piotr Bzrezinski)
- « Les sentiments d’Amour » (de Zlatko Milujevic)
- « Ta gueule » (du réalisateur hispano-portugais Antonio Da Fonseca y Fonseca)
- « Dégage où je t’arrache la tête » (du jeune réalisateur français Toufik Benzaoui, prix d’excellence au festival international du film français de Bobigny)